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7 choses à éviter avec une femme russe ou ukrainienne
QUIZZ : Ais-je une Chance avec une Femme Ukrainienne ?
La plupart du temps nos adhérents de l'Agence matrimoniale CQMI avancent dans leurs recherches sans préparation ou avec une faible préparation. Ils ignorent en réalité beaucoup des aspects du processus auquel ils vont être confrontés, encore plus la psychologie particulière des femmes slaves, les très légères différences existantes entres les femmes russes et ukrainiennes, les standards culturels, les mœurs, les façons de faire, d'aborder les gens, les normes de politesse, les comportements ou les relations entre hommes et femmes dans le monde slave. Il y a ici des centaines d'aspects qui ne peuvent être découverts que par le biais d'un long vécu, mais souvent, nous hommes occidentaux, nous commettons nombre d'erreurs cruciales qui peuvent toutefois en partie vous être évitées, aussi cet article va développer 7 aspects des relations avec les femmes russes ou ukrainiennes, des choses qui peuvent paraître simple mais qui ont été vécues par d'autres que vous. C'est ainsi mon propre cas, alors qu'après 10 ans de monde slave, d'Ukraine, de Moldavie et surtout de Russie, j'ai pu me confronter à ces problématiques, les voir, les comprendre, parfois trébucher ou prendre comme l'on dit « la porte en plein visage ».
En couple et marié à une femme russe que j'adore depuis maintenant dix ans, il m'arrive de repenser à ces moments où l'on se trouve bien seul face aux tremblements de terre des chocs culturels. Mes trois premières années de contact avec le monde slave, essentiellement dans les trois pays que j'ai cités, ont été des années de découvertes, d'expérimentations, de tensions aussi dans les moments où ma compréhension de ce monde n'était pas suffisante. Nous apprenons, certains plus vite que d'autres, mais il y a des quiproquos qui peuvent laisser des traces, qui peuvent biaiser vos relations avec une femme russe, et dans tous les cas le curseur le plus important au départ sera ce que j'appelle « la phase d'apprentissage de changement de cerveau ». Au départ, une personne juge en effet ce qu'elle voit et entend par rapport à son monde, c'est avec le temps qu'elle construit une vision plus claire et de plus en plus nette du monde de la femme russe ou ukrainienne. Par la suite, il ne sera plus question de comparer, mais simplement comme dans un sous-marin classique, de passer de la propulsion diesel à celle de l'électricité ! Une autre chose va beaucoup compter c'est lequel des futurs conjoints sera-t-il en mouvement ? Dans le cas de tout laisser pour s'expatrier. Dans l'immense majorité des cas (je fais exception), ce mouvement sera réalisé par cette femme russe et ukrainienne, et dans ce cas une distorsion se créera dans le temps : Elle aura une bonne vision de votre monde, vous aurez une vision partielle de son monde. Alors quels sont les pièges à éviter ?
1- Faire la bise, ou brouter le parchemin maxillaire de parfaits inconnus.
La phrase est inspirée d'un certain Desproges… mais vous devez savoir que Russes comme Ukrainiens ne font pas la bise, ou très peu la bise. L'idéal est de dire bonjour à son interlocuteur, si une femme russe ou ukrainienne vous tend la main, c'est déjà une certaine connaissance du monde occidental. Les Russes n'embrassent jamais que leurs parents, leurs amis très proches, en général il s'agit d'une seule et unique bise non marquée. Les hommes ne font jamais la bise à personne, il y a un aspect très martial et viril de l'homme russe ou ukrainien. C'est toujours à l'heure actuelle le cauchemar de mon épouse en France, devoir dans des réunions d'amis, des fêtes familiales, ou des soirées « embrasser » des inconnus qu'elle ne connaît pas. Sur le thème des « baisers », vous apprendrez vite aussi que le French Kiss est la plupart du temps inconnu au bataillon. Bien que dans les grandes villes, il y ait une influence de la globalisation, de la mondialisation, les époux, les couples sont moins ostentatoires et déclarés qu'en Occident. Il peut être choquant pour des gens de voir un couple se presser, ou s'embrasser en public, du moins dans la version du génial Brassens, des amoureux qui se bécotent sur les bancs publics.
2- Au royaume des sourires et de l'hypocrisie.
Ce n'est pas vrai pour tous les peuples qui forment l'Ukraine et la Russie, mais l'immense majorité et notamment les Russes comme les Ukrainiens ne voient pas d'un bon œil le sourire à des gens que l'on ne connaît pas. Vous pourrez sourire bien sûr à votre prétendante, aux femmes slaves que vous contacterez via le CQMI. Mais si cette femme remarque chez vous un sourire constamment vissé sur votre visage, elle sera très certainement ennuyée. Dans mon propre cas, mon épouse m'a fait la remarque assez souvent, de ne pas sourire inutilement, car dans la culture russe et slave, le sourire c'est justement… pour elle, pour les gens proches, que l'on connaît, que l'on pratique, qui sont dans votre entourage. Sourire peut vouloir dire deux choses à quelqu'un que l'on ne connaît pas : vous êtes quelqu'un de dérangé, dont la raison est affectée, ou alors vous êtes quelqu'un d'hypocrite. Les Russes sont très méfiants du comportement asiatique, très inquiet du souriant voisin chinois… et sourire en permanence est considéré comme une arme de gens calculateurs, malintentionnés et qui ont des choses à cacher. Il y a certes une certaine compréhension qu'à l'étranger on peut sourire à la boulangère… mais cette limite est vite atteinte. Ne pas sourire à quelqu'un que l'on ne connaît pas n'est pas un signe d'hostilités… J'ai connu dans mon métier de guide des Français très mal à l'aise avec « le non sourire » et de déclarer…. « je pourrais jamais vivre ici ! ». Alors mettez-vous aussi à la place des femmes russes et ukrainiennes… devant supporter l'exacte inverse de leur monde.
3- L'amabilité et la politesse chères aux Français, passez devant et suivez-moi…
Les règles de politesses ne sont pas exactement les mêmes que dans le monde occidental. Les femmes russes et ukrainiennes sont habituées à un niveau de ce qu'elles appellent « la galanterie », qui n'est pas exactement compris de la même façon par un homme occidental et une femme slave. La femme slave sera toujours précédée par son prétendant, qui lui ouvrira la porte pour la laisser passer, descendra le premier d'un autobus ou d'un taxi pour lui ouvrir la porte et lui tendre la main pour l'aider à son tour à descendre. Dans une première et infructueuse rencontre que je fis 11 ans plus tôt en Ukraine, j'ai raconté dans un autre article comment ma prétendante, d'une ville centrale du pays (Krementchug), me planta là sans plus de façon pendant deux heures… car je l'avais laissé descendre d'un minibus en premier… comme c'est la norme occidentale. Vous apprendrez donc à laisser passer les femmes en premier, mais à arriver aussi les premiers sur les portes, à anticiper les mouvements, les descentes… Ouvrez les portes des voitures, installez votre dame, faites-les descendre de la même manière, usez aussi des galanteries de par chez nous, portez tous les sacs, soyez aux petits soins, enlevez-lui son manteau, remettez lui… la liste est très longue. Vous impressionnerez aussi à attendre toujours dans les repas la maîtresse de maison avant d'entamer le premier plat.
4- N'ayez d'yeux que pour une seule femme… votre femme russe ou ukrainienne.
Dans le monde slave, les premiers voyages, les premiers pas en Russie ou en Ukraine sont quelque chose pour les hommes d'incroyablement… visuel… Il y a tant de femmes d'une beauté époustouflante, que beaucoup ne peuvent cacher ni les torticolis, ni les œillades en biais, ni le trouble que ces femmes peuvent provoquer en vous l'espace de quelques secondes. Il va vous falloir apprendre l'art du contrôle et laisser stoïquement passer ces dames, sans broncher et c'est en riant que oui… Je sais que l'exercice est parfois presque impossible. Sachez que beaucoup de femmes ukrainiennes, autant de femmes russes sont jalouses de nature. Elles remarqueront votre sensibilité à d'autres dames, alors que vous vous trouvez avec elles, et cette information sera très mal jugée dans le sens où les hommes russes et ukrainiens vivant dans ce bain, n'ont pas ces réactions, ou les ont différemment. Pensez aussi… aux femmes de votre entourage dans votre pays, une amie d'enfance sera difficilement acceptable, les attentions que vous pourriez avoir pour des femmes en tout bien tout honneur, notamment les compagnes de vos amis pourront aussi être perçues comme malsaines. Pire encore, le cercle familial russe et ukrainien n'est pas si vaste que celui des Français, des Belges ou des Suisses. Vos cousines… avec qui vous avez tant de souvenirs d'enfance peuvent aussi être perçues comme « d'anciens amours » plus ou moins refoulés. Je vous laisse deviner ce qui se passera si lors d'une soirée… une collègue et amie de 20 ans vient vous faire la conversation, avec des regards et des contacts, des « touchés » amicaux… Préparez-vous à l'explosion atomique !
5- On fait moitié-moitié, les bons comptes ne font pas les bons amoureux !
Si vous voulez passer absolument pour le pire des goujats, des impolis et des rustres, alors je vous invite à proposer à ces dames dans vos premières rencontres de partager l'addition, ou même au bout de quelques rencontres de lui laisser payer l'intégralité d'une addition. NON, en Russie comme un Ukraine, surtout quand il s'agit de relations amoureuses possibles, c'est l'homme qui est sensé inviter sa prétendante et payer les additions, dans les cafés, les restaurants, les sorties diverses. Il est très important que vous puissiez démontrer que vous avez les moyens d'assumer financièrement votre vie, de l'accueillir aussi chez vous, car dans le mouvement d'expatriation qu'elle fera, elle sera entièrement à votre charge et à votre merci pour ainsi dire. Comment une femme pourrait vous faire confiance si dans les premiers rendez-vous vous lui demandez de régler une addition… alors que beaucoup d'entre-elles auront en plus des revenus parfois 10, 20, 30 fois inférieurs aux vôtres ? Si vous n'avez pas conscience de ces caractéristiques, sachez que c'est une des raisons d'échecs les plus courantes des hommes face à des femmes slaves, une incompréhension majeure. Les hommes occidentaux devront apprendre à oublier les standards occidentaux par ailleurs très nouveaux, quelques décennies en arrière tout ceci était très normal en France ou au Canada.
6- De la question épineuse de l'histoire de l'Union soviétique.
Que vous ayez en face de vous une femme de Russie, d'Ukraine, de Biélorussie ou de Moldavie, tous ces pays faisaient partie du grand tout de l'URSS. Tous ces pays ont une histoire donc grandiose et glorieuse avec l'Union soviétique, par exemple dans le cas de la victoire contre l'Allemagne nazie en 1945, mais ces femmes ont aussi souvent des vécus douloureux avec l'Union soviétique. Pour les Russes, toutes les interrogations sur « la dictature stalinienne » seront mal perçues, comme des critiques agressives, elles ramèneront à des complexes d'infériorités, les douleurs de l'écroulement de l'URSS, les millions de morts et de drames vécus pendant la Guerre civile russe, la Grande Guerre patriotique (1941-1945), les répressions, les misères et les aléas de la disparition d'un monde. Pour une partie des Moldaves, des Biélorusses et des Ukrainiens, au contraire de beaucoup de Russes, elles auront une idée négative, voire agressive de l'URSS et de la Russie. Dans tous les cas vos questionnements buteront sur des problèmes politiques du passé, du présent et du futur, beaucoup de morts, beaucoup de sang, de douleurs. Quoi qu'il arrive, vous prendrez donc garde à éviter toutes ces questions et interrogations intellectuelles, historiques et politiques qui vous entraîneront vers des terrains très glissants. Soit vous serez à côté de la plaque, soit vous serez perçu comme offensant et ignorant (par exemple sur le thème de qui… a le plus participé à la victoire contre Hitler), ou même comme tombé dans des propagandes « ennemies ».
7- Ma chérie, je suis fatigué !
Je l'ai déjà évoqué dans d'autres articles, un homme occidental aura des facilités de communication sur son « état » son « statut » du moment. C'est aujourd'hui après dix ans un sujet de plaisanteries avec mon épouse russe, sur ces petits moments et détails de nos premières relations. Pendant des années en effet vous aurez eu l'habitude de dire ce que vous ressentez, votre fatigue, votre envie de manger, celui de vous rendre aux commodités. Une femme russe et ukrainienne n'aura probablement jamais rencontré d'hommes comme vous. Un homme russe ne dira jamais ce qu'il ressent, et sûrement pas qu'il est fatigué. Cette information donnée à votre prétendante sera perçue comme une faiblesse, et tout le monde slave est construit sur cette relation à la résilience, à la résistance. Dans l'histoire, le soldat russe ou soviétique a étonné ceux qui l'ont affronté, il y a un refus d'avouer ses faiblesses ce qui est un avantage et un désavantage. Dans les premiers temps, vous prendrez garde, tant que votre prétendante ne comprend pas votre monde, à ne pas donner d'informations sur votre état (j'ai faim, je suis fatigué, je veux aller aux toilettes). Elles seront perçues comme des faiblesses, des plaintes et vous feront paraître comme moins fiable, comme une épaule bancale, comme quelqu'un d'égoïste et de tourné essentiellement vers vous-même. Vous aurez avantage à demander par contre à votre prétendante comme ça va, si elle veut quelque chose, si elle a faim, est fatiguée ou a besoin de quelque chose !
Vous garderez à l'esprit qu'avec une femme russe ou ukrainienne vous devrez déployer toute la voile… de votre galanterie et n'hésitez pas à faire ce qu'en Occident, l'entourage pourrait trouver ringard ou décalé… osez donc offrir dans toutes les circonstances des fleurs à vos prétendantes, de menus cadeaux non onéreux, des petites attentions. Faites asseoir toujours vos prétendantes, ménagez leur toujours la meilleure place, notamment les fauteuils, les canapés et placez-vous toujours près d'elle, idéalement en face dans les premiers rendez-vous, dos aux entrées des restaurants ou cafés où vous vous rendrez, afin de n'avoir aucune possibilité de distractions par les allées et venues, faites attention à laisser strictement votre téléphone dans un sac, non visible et à éviter aussi les écrans de télévision toujours très nombreux dans les lieux publics de restauration dans le monde slave. Ce sont des détails qui feront que vous aurez du succès, que vous pourrez capter l'amour d'une femme slave, russe ou ukrainienne, et tous les hommes qui sont passés par les voyages CQMI en Ukraine seront d'accord pour dire, que ces détails comptent énormément, ils pèsent dans la balance. Nous espérons donc que vous serez en réussite, c'est toujours l'objectif premier de l'Agence CQMI, vous voir réussir, heureux et bien accompagnés au bout de cette aventure de vie fantastique, c'est l'essentiel de notre mission.
QUIZZ : Ais-je une Chance avec une Femme Ukrainienne ?
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL
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