Blog actualités de l'agence CQMI
Critère de choix du conjoint : le choix épineux des femmes slaves avec qui communiquer
A travers l’expérience d’Antoine Monnier directeur de l’Agence CQMI, marié avec une Ukrainienne, et celle d’Hervé Jouhet marié quant à lui à une Russe, nous allons tenter au moyen d’une chronique particulière sous la plume du second de vous présenter quelques standards et quelques conseils à l’usage d’hommes francophones qui rêveraient, espéreraient et décideraient de créer une relation maritale avec une femme russe ou ukrainienne. L’un comme l’autre ont écumé le monde slave, tant l’Ukraine, que la Russie, mais aussi d’autres pays périphériques. L’un comme l’autre sont passés par une étape de recherche amoureuse similaire, faite de rêves qui se sont réalisés… mais pas tout seuls ! L’un et l’autre sont parfaitement russophones, ont étudié en Russie la langue de Pouchkine, le premier a longuement résidé dans le pays et dans la ville mythique de Saint-Pétersbourg, en passant par la Sibérie, le second est moscovite, cœur palpitant de la Russie, après avoir connu l’Oural et le Sud du pays.
Vous avez décidé de vous inscrire comme adhérent à l’Agence matrimoniale CQMI, vous avez regardé des profils correspondants à vos premières attentes, et vous voilà lancé dans une recherche d’une épouse slave, russe et ukrainienne. Selon les cas, cette démarche aura été le résultat d’une très longue histoire, ou plutôt d’une décision rapide. En effet, nous remarquons parmi nos adhérents hommes, des personnes qui auront longuement « creusé », cherché des informations sur l’agence, qui auront fait l’effort de regarder les vidéos d’Antoine Monnier, de participer éventuellement aux LIVES du dimanche, ou même d’avoir lu les articles conseils ou informatifs du CQMI sur le site. Pour d’autres, c’est assez rapidement que la démarche se sera faite, ils n’auront pas attendu pour se décider de fouiller sur internet. Mais pour tous, le même problème se posera, le choix des adhérentes avec lesquelles vous communiquerez. Antoine a réalisé déjà de nombreuses vidéos où ce sujet est abordé, mais aujourd’hui nous parlerons surtout finalement de ce fameux problème du choix, des premiers choix dans votre recherche.
Un choix difficile, le choix des femmes slaves avec qui vous communiquerez.
Au début de votre recherche, la toute première démarche sera de consulter les profils de l’Agence matrimoniale CQMI. Il en existe plusieurs centaines, qui sont classés selon des catégories d’âges, à savoir 18-25 ans, 23-30 ans, 31-35 ans, 36-40 ans et enfin + de 41 ans. Nous ne nous pencherons pas sur la question de la différence d’âge, qui à elle seule intéresserait des articles et des vidéos entières. Le premier piège du choix dans les listes d’adhérentes sera l’aspect « marché ». Mine de rien, vous vous retrouverez face à des dizaines de profils et bien sûr ce qui conditionnera votre première attention, sera l’apparence des jeunes femmes. Inconsciemment ou non, vous irez donc vers l’ouverture de fiches profil de femmes qui forcément auront attiré votre regard, par leur visage, leurs formes, leurs apparences, leurs vêtements. Cette première étape pourrait être dangereuse, dans le sens où vous vous laisseriez emporter vers une zone qui ne serait pas celle de vos succès, votre zone de confort. Il est évident que nous avons tous des caractéristiques physiques, les femmes qui se trouveront en face de vous seront d’abord, comme vous, attirées ou non par votre apparence, c’est ici la question essentielle des photos que vous aurez choisies. En visant trop haut, en vous penchant sur des profils de femmes plus jeunes que vous de 15, 20, 25 voire 30 ans, vous serez déjà bien loin finalement de la réalité de vos possibilités, de vos chances de rencontrer la femme qui vous correspondra. Mais en dehors de cette différence critique d’âge, vous devriez aussi maîtriser vos pulsions, vos rêves, vos fantasmes, pour vous poser réellement les questions essentielles sur vous-même. Cherchez-vous une femme qui rivaliserait de beauté avec les plus belles beautés dans le Monde ? Cherchez-vous une femme qui par sa beauté flattera votre égocentrisme, vous mettra en valeur face au milieu social qui vous entoure, vous valorisera dans votre univers ? Êtes-vous certain, alors que vous êtes un homme lambda, peut-être même plutôt physiquement dans la queue du peloton, qu’une femme splendide, un top-modèle pourra s’intéresser à vous, de surcroît si elle est plus jeune que vous de nombreuses années au point de pouvoir être votre fille ? Et finalement, plus que le rêve, n’est-ce pas VOTRE femme que vous cherchez ? Écoutons Hervé qui fut confronté à ce bouillant problème dans sa recherche :
« Dans mon cas particulier, il n’existait pas d’Agence matrimoniale CQMI, j’étais en avance de plus de 7 ans ! Je recherchais mon épouse par un simple site de rencontres internationales, mais je découvris par chance l’un des seuls efficaces, aujourd’hui défunt sous son ancienne forme. Mon problème a été un peu différent des hommes qui dans le CQMI chercheront leur femme, puisque dans mon cas, je pouvais être contacté par des femmes slaves. A 70 %, elles venaient de Russie, 25 % d’Ukraine, le reste de quelques pays périphériques comme la Biélorussie, la Moldavie ou encore le Kazakhstan et les pays baltes. Au CQMI c’est vous qui demanderez l’ouverture d’un contact avec une femme, et elle pourra refuser de communiquer avec vous. C’est un atout majeur de l’Agence CQMI, car ici l’homme propose… la femme dispose ! C’est finalement un ordre logique. Dans mon cas le piège du choix était plus grand, dans l’espace d’un mois, je recevais plus de 300 profils de femmes de l’Est, dont un certain nombre de scammers. Ce fut finalement un moment assez grisant, j’avais passé les 35 ans, un âge où le choix est optimum puisque l’on peut appréhender des femmes de son âge, mais aussi des plus jeunes, toutes magnifiques et absolument splendides. C’est très flatteur pour un homme qu’une femme d’une beauté à couper le souffle veuille bien vous parler dans le but peut-être d’une relation amoureuse. On peut se dire que finalement tout est possible, on peut finalement ne pas voir les vraies femmes, celles qui seront à votre vraie convenance, dans votre zone de succès. Au départ je regardais donc des photos de « créatures » de 25 ans, qui avaient déjà 10, 12, 14 ans de différence avec moi. Alors je me suis posé des questions réelles, j’avais deux enfants, je me suis demandé ce que cela impliquerait pour ces femmes célibataires qui n’avaient jamais été mères. Je me suis dit ensuite et quand j’aurais 50 ans ? Je ne serais peut-être plus aussi attirant, ni même en si bonne forme physique et que se passera-t-il ? Enfin je me suis posé la question de la génération, à savoir quelles complicités je pourrais bien construire avec une femme n’ayant rien connu de mon monde de l’enfance et de l’adolescence ? Comment pourrais-je créer des liens avec ses amis dans un tel décalage, quel sera le ciment de notre amour, de nos relations ? J’ai arrêté d’ouvrir ces profils qui ne me correspondaient pas, et j’ai décidé finalement en premier lieu d’une tranche d’âge de confort et de succès optimale pour moi : une femme âgée de 29 à 37 ans (j’en avais 37). Tout de suite derrière, je choisissais ensuite de rechercher une femme divorcée (je l’étais), qui comprendrait les difficultés de cette situation, et une femme ayant eu un ou plusieurs enfants (car j’en avais moi-même). J’avais ainsi déjà un profil très intéressant de ma future épouse. Je décidais ensuite de rechercher une femme ayant étudié à l’université au moins deux ou trois années (j’avais un niveau Master II), pour correspondre à mon propre niveau d’éducation. C’est avec ce profil, une femme de 29 à 37 ans, divorcée, ayant un ou des enfants, diplômée d’une université ou du supérieur que je me lançais dans ma recherche. Deux mois après j’établissais le premier contact avec ma future femme, quatre mois après nous nous sommes rencontrés, un an après nous vivions ensemble, plus tard encore nous nous sommes mariés ! Et je vis avec cette femme incroyable depuis ce temps ».
Définir un profil de votre épouse, définir un projet global de vie.
Vous ne pourrez en effet réussir à découvrir enfin cette femme qui est la vôtre, que la providence vous réserve, où que vous attendez depuis des lustres, que si vous avez vous-mêmes un véritable projet. TOUS les hommes ont en effet les mêmes fantasmes de femmes plantureuses et idéales, de créatures aux formes généreuses ou parfaites, de jeunes, rafraîchissantes et douces nymphes sorties d’un écran de cinéma ou d’un roman à l’eau de rose. Mais ceci est justement un fantasme, un rêve. Vous aurez le droit bien sûr de rêver en ouvrant pour la première fois des profils dans les listes des adhérentes de l’Agence CQMI. Telle femme superbe vous laissera rêveur et pensif, telle autre vous aura transcendé par ce que vous aurez cru voir dans son regard. Si vous avez 45 ans, vous pourrez bien sûr ouvrir des profils de jeunesses des premières catégories et vous revoir au même âge lorsque vous aviez 20 ans ! Mais il faudra vite vous réveiller pour revenir à la raison, à la réalité et finalement à ce qui vous amène ici. Bien sûr, si vous avez comme Ronan (26 ans), Anthony (23 ans), ou Maxime (30 ans), la question ne se posera pas de l’âge, mais celle de l’apparence elle sera toujours d’actualité. Il est d’usage souvent de dire dans le monde francophone : « Ils vont bien ensemble ! ». En effet, et vous en conviendrez, être avec une femme est une chose, mais des paramètres physiques réducteurs s’inviteront forcément dans votre recherche. Vous êtes de petite taille ? Beaucoup de femmes ukrainiennes et russes sont au contraire de grande taille, 1 m 75, 1 m 80, plus ! Et beaucoup refuseront bien sûr de rencontrer des hommes inférieurs à leur taille. Il s’agit donc de vous remettre en question, non pas en vous dévalorisant, mais en vous regardant pour une fois, réellement dans le miroir. Les questions de taille, de poids, de « défauts physiques » seront vraiment importantes dans les acceptations ou non par les femmes slaves de vous parler ou de refuser de vous parler. Mais ceci ne sera pas suffisant, certains hommes prêteront attention à la beauté des mains, des femmes aussi… d’autres scruteront le style, les vêtements comme révélateurs, et comme de bien entendu certains seront éloignés par vos tatouages, d’autres adoreront, certaines abuseront du maquillage, des hommes apprécieront, d’autres prendront leurs jambes à leur cou. Cette question de l’apparence reste centrale et conditionnera bien sûr votre réussite, mais il reste finalement le plus important, votre propre projet. Écoutons Hervé :
« Il est certain que si vous mesurez 1 m 65, que vous êtes légèrement enrobé, que vous avez 55 ans et que vous êtes issu d’une culture latine très marquée, ceci ne sera pas du tout la même chose que si vous mesurez 1 m 85, que vous êtes sportif, que vous avez 25 ans et que vous venez des Alpes ou d’Alsace ! Dans mon cas, je mesurais bien mon mètre quatre-vingt-cinq, je n’étais pas sportif, mais ce qui comptait plus encore, j’avais déjà des enfants, je n’étais pas opposé à la venue d’une autre naissance, ou de plusieurs, je n’étais pas focalisé sur le déménagement de ma compagne dans mon pays, j’avais l’intention d’apprendre la langue de ma future. C’est ici finalement qu’entrait en ligne de compte le projet de vie plus complet. Il est évident que j’aurais ennuyé une femme très sportive, que j’écartais les candidates à l’émigration à tout prix (ce qui finalement augmenta de beaucoup mes chances de succès), mais que je laissais une porte ouverte aux mères qui auraient voulu encore des enfants. Je voulais qu’elle ait déjà connue la maternité, pour appréhender mes enfants, pour également mieux être préparée à ceux qui viendraient de son côté. J’envisageais de suite de vivre avec cette femme ET son ou ses enfants. C’est cela, le projet de vie. Sans projet précis vous ne pourrez pas passer les principaux obstacles, vous devez avoir fixé votre projet, pour que ce dernier soit clair pour vos interlocutrices et que vous puissiez juger des similitudes avec les adhérentes CQMI que vous aviez envisagé. C’est là que vous pourriez être très surpris finalement du port où vous accosterez !!! Dans mon cas, je restais, au départ, face à une Ukrainienne aux caractéristiques physiques opposées à ma future épouse… russe. Cette première rencontre ne fut pas un succès car je n’avais alors pas réellement posé de vrai projet en face d’elle. Après cet échec, enfin, je me décidais à définir ce projet de vie en plus du profil de ma future femme. Dès que cela fut décidé, je me trouvais face à ma future femme en moins d’une semaine (enfin je veux dire en communication par internet). Ici nous sommes tous différents, c’est à vous de voir selon votre vie, votre parcours, votre mentalité et votre caractère. Pour ma part, de mon mètre quatre-vingt-cinq, je tombais sur une femme d’un mètre quatre-vingt, non sportive, (sur)diplômée du supérieur, de 4 ans ma cadette, divorcée, un enfant, souhaitant éventuellement en avoir d’autres, ne souhaitant pas forcément déménager de son pays. Il était évident qu’à partir de là nous étions partis du bon pied, maintenant voilà 10 ans… de vie commune et de bonheur intégral ! ».
La tentation ultime, la dilution de vos intentions premières.
Face aux illusions presque naturelles et dues à la profusion des profils, vous pourriez bien donc perdre le sens du commun, vous voir avec vingt ans de moins et vous sentir pousser des ailes en oubliant vos propres caractéristiques. Vous n’oublierez pas cependant de ne pas tomber dans l’excès inverse et de vous demander ce que vous faites ici au milieu de si belles femmes. Regardez bien les profils, les photos, et vous découvrirez qu’il y a toutes sortes de femmes différentes dans les adhérentes de l’Agence matrimoniale CQMI. Vous devrez donc faire bien attention à ne pas vous laisser distraire, à vous dévaloriser, ou même au contraire de vous surestimer. Il y a des femmes russes et ukrainiennes normales, de toutes les apparences, de tous les styles et d’un grand panel de générations. Dans une telle ambiance, l’homme pourrait se trouver atteint du réflexe « du coq de basse-cour », ne plus savoir où donner de la tête et choisir toute une série de femmes qui ne seront absolument pas dans votre zone de succès et de confort. Vous devrez prendre conscience aussi que même si vous arriviez à vaincre les premiers obstacles d’une relation mal assemblée, les problèmes souterrains vous rattraperont dans l’avenir. Comment en effet vivre votre couple dans la sérénité lorsque les défauts d’intérêts, les différences de génération, les décalages de vos conditions et apparences respectives débarqueront dans votre vie privée, en plus du défi culturel dû à vos origines différentes ? Beaucoup d’hommes se laissent ainsi dépassés par les événements, et même dans le cas d’un forfait maximum, celui qui vous permettra de rencontrer 8 femmes slaves différentes, vous échouerez dans tous les cas quel que soit le nombre de femmes choisies, ce qui comptera sera la sorte de femmes que vous aurez sélectionné. Si certaines femmes refuseront les assemblages voués à l’échec, par bon sens ou simplement par instinct, d’autres seront prêtes à des compromis, de plus grandes concessions, parfois dans l’espoir très humain également de la réussite. Ces femmes sont aussi des personnes, ces femmes sont aussi flattées de l’attention d’hommes, qui plus est de l’étranger. Il existe aussi un autre danger dans le processus lui-même. Il est facile, même naturel de se prendre au jeu de la recherche, c’est un moment très excitant, extrêmement intense pour les hommes comme pour les femmes. Il est possible ainsi de regretter ces moments où vous chercherez des profils, de se perdre littéralement dans ce labyrinthe. Il n’existe pas en effet d’autres moments dans la vie, que cela soit dans votre jeunesse ou plus tard, où vous serez dans la possibilité d’un choix de rencontres avec un potentiel de plusieurs centaines de femmes différentes… C’est évidemment unique dans une vie, et cela donne à certains hommes un sentiment de puissance, de contrôle, de satisfaction qui peut les induire ensuite en erreur. C’est le phénomène « du marché », de la « foire aux bestiaux ».
Quoi que vous en pensiez, il ne s’agit pas d’un marché, n’oubliez jamais que ces femmes cherchent un mari, parfois aussi le père de leurs enfants. Pour une femme, le choix du géniteur est quelque chose d’inconsciemment primordial. Il n’y a ni marché, ni foire, ni esclaves sexuels, ni esclave tout court et encore moins de bonnes à tout faire. Ceci est un peu cru, dans notre propos, mais les hommes doivent aussi prendre conscience que les femmes ont le choix d’abord de ne pas correspondre avec eux, au dernier moment de refuser de vous rencontrer, ou même de rencontrer plusieurs hommes d’un même groupe organisé par l’Agence matrimoniale CQMI. Nous veillons au maximum à faire le tri des adhérents et des adhérentes de notre agence, mais il arrive bien sûr que quelques femmes indiscrètes se glissent dans nos rangs, ainsi que des hommes ayant peu de patience, de tact ou simplement de réalisme. L’échec ou la réussite dans une rencontre possiblement amoureuse devant mener à un mariage et peut-être à la fondation d’une famille, tient simplement à des choses simples : vous n’aurez pas choisi des femmes dans votre zone de succès, vous n’aurez pas écouté les conseils avisés d’Antoine Monnier, ou de Boryslava, qui pourtant après déjà trois saisons d’organisations de groupes de rencontre savent déjà de quoi ils parlent. Peut-être même, aurez-vous simplement décidé de ne rencontrer qu’une seule et unique femme. Il arrive que cela puisse en effet « coller », mais l’évidence même des statistiques seront contre vous, 8 rencontres valent mieux que trois, qui valent mieux qu’une seule. Ce que vous aurez construit dans vos rapports avec vos prétendantes avant de venir en Ukraine ou en Russie, sera bien sûr important, vous aurez pu sentir des sensations, éprouver même ce que vous aurez senti comme des sentiments, vous vous serez vu sur Skype. Mais la confrontation avec ces femmes dans la réalité, en face à face, sans fard et sans artifice sera capitale. C’est ici, les yeux dans les yeux, après une ou deux rencontres réelles que vous aurez les premières réponses à vos questions.
Conclusion :
L’Agence CQMI n’est pas un site de rencontre, ni même une agence de rencontres, c’est une agence matrimoniale dont les objectifs sont clairs : permettre à des hommes et des femmes, les premiers francophones (ou anglophones), les secondes slaves, de se trouver, de se marier et de vivre la plus longue histoire possible de joies et de bonheurs, ceux de la famille, ceux qui doivent être vécus entre deux êtres aimants. Vous serez donc attentifs à écouter les conseils de nos collaborateurs, d’Antoine, ou d’Hervé, qui mariés à des femmes slaves et ayant rencontré leurs épouses par ce même moyen sont évidemment en position de forces pour vous guider. Vous ne négligerez pas non plus ceux des conseils venus « des femmes » du CQMI, nous avons déjà cité Borislava, mais il y a aussi les assistantes de l’agence. Ces femmes francophones, ukrainiennes ou russes sont spécialement mandatées par le CQMI pour vous accompagner dans vos rencontres (si vous le désirez), plusieurs travaillent avec l’agence depuis le départ, elles ont déjà elles aussi une certaine expérience, et leurs analyses, par le fait aussi qu’elles comprennent des choses, qu’elles voient des choses, tant comme slaves, que comme femmes, sont très importantes. Vous vous souviendrez aussi de ne pas négliger votre temps dans vos démarches, de regarder les vidéos d’Antoine Monnier, conseils, et comptes rendus, sans oublier le LIVE du dimanche ! La réussite est en vous, nous ne serons jamais ici que pour vous assister, mais nous ferons toujours le maximum pour vous aider à atteindre ce bonheur essentiel dans l’existence, conjugal et familial, le bonheur d’être à deux !
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL