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Les Femmes de l’Europe de l’Est idéalisent-elles les hommes occidentaux ?
Pour les adhérents occidentaux du CQMI, ou par ailleurs ceux qui passeront par d’autres agences ou des sites de rencontres, la femme slave reste un mystère, à la seule différence qu’ils ne le savent pas encore. S’ils partent à la rencontre de femmes de Russie ou d’Ukraine, c’est avant tout en ayant un seul modèle de femmes comme exemple : celles de leur pays, des pays limitrophes, de leur entourage, dans leur famille et parfois celles qu’ils ont connu au sens du mari, du compagnon, de l’amant, de l’ami. La difficulté pour ces hommes occidentaux, c’est qu’ils ne peuvent justement se sortir véritablement de l’image de la femme qui est un peu et même beaucoup celle des femmes qu’ils ont fréquenté dans leur vie. S’ils ont conscience que ces femmes slaves seront différentes, ils ne peuvent que difficilement entrevoir ce qu’elles sont réellement avant d’avoir vécu avec l’une d’elle, et encore plus difficilement comprendre ce qu’est l’homme slave. Car à l’inverse, ses femmes slaves seront dans le cas contraire, ayant en tête les hommes comme ceux qui auront été les leurs jusqu’à présent, bien qu’évidemment elles pensent toutes que l’homme occidental est fondamentalement différent.
De la difficulté à laisser ses standards de société de côté pour aborder correctement une femme slave… et vice-et-versa. Ces femmes de l’Europe de l’Est sont également dans la même difficulté, elles ont parfois vu des hommes occidentaux, dans des voyages ou même dans leurs pays et ce qui revient le plus souvent sont les choses suivantes :
1- L’homme occidental est plus élégant.
Ici le problème est qu’elles ont souvent vu une tranche aisée des hommes occidentaux, hommes d’affaires, cadres de grandes entreprises, voyageurs à l’aise financièrement. S’il est peut-être vrai que l’homme occidental est plus élégant qu’un homme slave, peut-être faudrait-il plutôt parler d’une meilleure qualité de vêtements, de chaussures, d’accessoires, car pour ceux qui ont écumé le monde slave, le prêt à porter disponible en Ukraine et en Russie peut se trouver au même niveau qu’en Europe, à des prix par ailleurs aussi chers, mais très vite aussi à un niveau inférieur, jusqu’à ce qu’il y ait un abysse au niveau des différences. Dans ma propre expérience des femmes slaves m’ont fait remarquer que j’avais un parfum élégant, parce qu’effectivement ceux-ci sont chers dans leurs pays (d’ailleurs aussi en Occident), mais aussi rares, ou qu’il s’agit de copies, d’ersatz divers et variés aux senteurs douteuses. Mais ce qu’ignore la femme slave, c’est que pour une énorme quantité d’hommes occidentaux, les habits élégants ne sont pas la norme, sont classés « bourgeois », ou réservés aux occasions de fêtes, au profit de vêtements confortables pas forcément ringards mais plutôt légers, sportifs, selon la mode du temps. Il n’est pas rare désormais de voir des gens s’habiller en Occident chez Décathlon pour ne citer que cet exemple. Dans ces conditions, la découverte de cette réalité par les femmes de l’Europe de l’Est, notamment aussi des femmes occidentales (surtout les Françaises réputées les plus élégantes au monde dans l’idée des Slaves), sera un choc incommensurable. Ma propre femme russe ne s’en est pour ainsi dire toujours pas remise ! Le vestimentaire a une importance capitale chez les femmes slaves, et le reproche le plus important à leurs hommes de Russie et d’Ukraine, c’est déjà de ne pas savoir s’habiller… L’atterrissage pourrait bien être violent pour beaucoup d’entre elles à la découverte de la réalité occidentale du terrain.
2- L’homme occidental est un meilleur père.
Si certaines pensent que l’homme français n’acceptera que difficilement la « portée d’un autre lit », elles penseront toutefois que l’homme occidental, français particulièrement, est un bon père. Énormément d’entre elles ont des anecdotes sur les pères occidentaux qu’elles ont vu avec leurs enfants, et ont été émus par eux dans leurs comportements. Mais ces émotions et cette affection pour le bon père de famille d’Occident se heurtent toutefois très vite aux standards culturels slaves de l’homme… Et ce dernier par exemple, n’a pas sa place dans une salle d’accouchement, ce qui était autrefois le cas et la norme partout en Europe, mais qui a tellement changé que désormais les hommes qui n’assistent pas en Europe à la naissance de leurs enfants, sont plutôt rares. Personnellement, pour avoir accueilli en personne deux trésors, je n’aurais jamais voulu, pour rien au monde manquer cela, et ceci restera un souvenir impérissable. Dans le monde slave, immédiatement les femmes seront choquées par cette nouvelle tradition. Aucun homme de l’Est n’assiste de fait à l’arrivée de leurs enfants, et les hommes étrangers qui le voudraient devraient batailler ferme pour avoir ce droit, sous les regards désapprobateurs des Européens de l’Est et encore en ayant payé pour y assister, nous ne parlons même pas ici de couper le cordon ombilical ou de donner le premier bain au bébé. La mère et femme russe dans le cas présent aura un rapport à l’enfant beaucoup plus fort que ses camarades occidentales. L’homme qui sera vu derrière une poussette, sera à la fois pris pour un héros… et un être un peu méprisable, et même si ces femmes sont amusées par le fait que les hommes occidentaux peuvent prendre un congé maternité durable, pour s’occuper eux-mêmes des enfants, l’idée reste saugrenue. En discutant avec mon épouse sur les mœurs de son mari et ses comportements au niveau de la naissance de ma belle-fille, je fus surpris d’apprendre que :
a- il n’avait jamais changé une couche,
b- il ne s’était jamais levé pour apporter le bébé au sein,
c- il n’avait jamais fait un biberon de sa vie,
d- il n’avait jamais fait également de courses, ni de ménages, ni de cuisines, ni de repassage, ni aucune des tâches ménagères que nécessitent une maisonnée.
Meilleur père, meilleur « homme de maison », il n’en restera pas moins que secrètement elles seront un peu choquées, mais rapidement fières dans certains domaines, notamment qu’un homme puisse cuisiner… et le fasse au moins aussi bien qu’elles (si ce n’est mieux !). Le danger toutefois sera bien présent dans le cas de l’enfant et de son éducation, car la femme slave a une idée bien arrêté de la famille, des rôles, dont celui de l’homme, ce qu’il doit être. Le paradoxe est qu’elle voudra un homme occidental pour ses avantages… mais espérera aussi ceux de l’homme russe dans la même personne (et inversement pour l’homme occidental vis-à-vis de la femme slave).
Un homme slave, qu’est-ce que c’est ?
L’homme lambda de l’Europe de l’Est a souvent une apparence très « improbable », l’aspect vestimentaire reste souvent relativement « étrange », mais il y a bien sûr de tout. Il sera en général beaucoup moins intéressé par sa garde-robe et le soin de son look qu’un occidental, mais beaucoup plus intéressé aux aspects ostentatoires de son habillement (ce qui brille !). Certains rivaliseront avec les plus beaux « minets » de Rome ou de Paris, mais beaucoup n’auront qu’une vague idée de ce qu’est le parfum et le déodorant. L’homme slave sera par contre beaucoup plus viril en général que l’homme occidental, à la fois dans son comportement, que dans son parlé, dans ses manières ou dans sa mentalité. L’immense majorité d’entre eux ont fait le service militaire obligatoire, comme c’est le cas en Russie et en Ukraine. Des fêtes spéciales sont présentes dans l’année pour magnifier l’homme, par exemple comme défenseur de la Patrie (23 février), ou par des jours spéciaux, celui des parachutistes, de l’infanterie de marine, des artilleurs etc. Ces journées sont populaires et suivies, et les femmes très fières de l’uniforme et sensibles à ce dernier, ainsi qu’aux médailles. Cet homme viril ne se mêle pas des choses… du commun de la maisonnée, selon un vieil adage franc cher à un connétable de France qui disait à l’extinction des Capétiens de la ligne directe : « [la France] ne doit pas tomber en quenouille ». Beaucoup moins nombreux dans leurs pays, ces hommes ont aussi souvent été élevés comme étant « l’élite », le cœur et le centre de la famille. De cette situation naît souvent un sentiment aussi de supériorité, alors que l’attention portée aux filles est moindre, mais qu’elles subissent une forte pression dans la société. Cette pression est évidemment celle du mariage, de la maternité, mais aussi de la sexualité.
L’âge moyen de la maturité sexuelle en Russie et en Ukraine (17,3 et 17,26 ans), n’est pas très différent du monde occidental (en France, 17,4 ans pour les garçons, 17,6 ans pour les filles), ce qui place la France, le Canada (17 ans), la Belgique (17,2), la Suisse (17,3) dans une position médiane, par rapport à des précoces que sont l’Islande (15,6 ans), la Suède (16,1), ou le Royaume Uni (16,6), ou aux tardifs que sont l’Italie (18,1), la Chine (18,3), l’Indonésie (18,1) ou l’Inde (19,8).
Contrairement aux idées reçues, si l’homme russe n’est pas le partenaire sexuel idéal, il est toutefois dans le top 10 mondial des partenaires sexuels les plus actifs au monde : 1- Grèce, 2- Brésil, 3- Russie, 4- Chine, 5- Pologne, 6- Italie, 7- Malaisie, 8- Espagne, 9- Suisse, 10- Mexique. Du côté de la qualité des amants, un classement qui en vaut d’autres donne dans l’ordre 1- Espagne, 2- Brésil, 3- Italie, 4- France, 5- Irlande, 6- Amérique du Sud, 7 Australie, 8- Nouvelle-Zélande, 9- Danemark, 10- Canada, et pour bien enfoncer le clou voici un autre des pires partenaires sexuels : 1- Allemagne, 2- Royaume Uni, 3- Pays-Bas, 5- USA, 6- Grèce, 7- Pays de Galles, 8- Écosse, 9- Turquie, 10- Russie.
La déduction est donc simple, certains pays font plus l’amour, d’autres moins, et parmi ceux qui le font beaucoup l’on découvre les plus mauvais élèves… dont justement la Russie. Si vous parliez de leurs expériences avec des femmes russes ou ukrainiennes, vous comprendriez vite comment (en l’occurrence ici, Canadiens et Français… et certainement leurs voisins Belges) elles ont vécu massivement une vie sexuelle terne, difficile, peu encourageante. Ici, l’évidence est donc que l’homme francophone a des armes extraordinaires pour ancrer ses femmes à des ports qu’elles n’auront absolument jamais atteints. Cet aspect de nos civilisations francophones est méconnu des hommes en Occident, qui ne savent pas ou peu, être de bons amants. En le découvrant avec une femme slave, ils peuvent alors vraiment transcender le couple, du moins dans les limites de l’amour physique bien sûr, ajoutant un ciment solide dans sa construction. Les femmes slaves sont bien sûr toutes différentes, certaines plus torrides que d’autres, mais ceci pourrait aussi être compté à décharge…. En assimilant le tout au mythe du French Lover…. Cet homme français qui a une femme dans chaque port !
3- Se méfier du Français… et du Belge, les coureurs de jupons.
Dans l’idée des femmes slaves, l’homme de France, voire de Belgique, mais bien sûr évidemment d’Italie, c’est le Don Juan, le « trousseur de ses dames », toujours vaillant et charmeur… Avoir de la tendresse, celle que les hommes slaves n’expriment pas, peut paraître alors très étrange, voire suspect : « mais où a-t-il apprit tout cela ? Qui lui a montré ? ». C’est ignorer qu’en matière de nombre de partenaires sexuels, le top 25 des pays où les gens ont le plus de partenaires sexuels dans leur vie est : 1- Turquie, 2- Australie, 3- Nouvelle-Zélande, 4-Islande, 5- Afrique du Sud, 6- Finlande, 7- Norvège, 8- Italie, 9- Suède, 10- Irlande, 11- Suisse, 12- Canada, 13- USA, 14- Grèce, 15- Israël, 16- Thaïlande, 17- Japon, 18- Chili, 19- Monténégro, 20- Royaume Uni, 21- Autriche, 22 Danemark, 23- Bulgarie, 24- Tchéquie et 25- France.
Comme vous le voyez, les Français sont loin d’être des prédateurs sexuels, mais l’Italien lui tient bien sa réputation tandis que Suisses et Canadiens cachent particulièrement bien leur jeu ! Russie, Ukraine, Biélorussie et autres sont loin derrières pour des raisons simples, en premier lieu l’espérance de vie faible des hommes, les addictions nombreuses altérants sans doute nombre des relations intimes de ces derniers, mais aussi des standards culturels très forts autour de la vie de famille, du mariage. Si ceux-ci sont aussi en pertes de vitesse, le mariage reste plus précoce en Russie ou en Ukraine, la paternité aussi, l’infidélité également plus développée de la part des hommes (du fait du choix et du nombre importante de femmes en plus), et les femmes sont plus… prudes. Ici les Occidentaux devront laisser derrière leurs stéréotypes de la femme facile slave… (l’occidentale l’est bien plus !) certes il y en a, un peu, mais la masse des femmes se défendra mieux et plus longtemps contre les envies des hommes, malgré des pressions évidentes. Plus généreuse dans son apparence, avec le port de vêtements mettant en valeur, jambes et poitrines, ces femmes seront plus souvent des forteresses. Il faudra alors Messieurs vous tenir droits dans vos bottes, ou paraître comme d’infâmes goujats décadents ! (Au contraire de l’homme slave considéré par la femme slave comme un des musts en termes de galanterie, et oui !).
De ce point de vue-là, l’homme occidental qui se montrerait empressé ou trop entreprenant, tout trop vite, ou ayant l’habitude des regards traînants sur la gente féminine, sur les femmes de passage, serait dans l’instant catalogué comme un homme de mauvais aloi, intéressé et inintéressant, car l’homme slave lui… ne regarde que peu ou pas ses femmes du moins pas de la même manière. La femme russe de par la norme d’activités sexuelles importantes sera ici en corrélation souvent parfaite avec l’homme francophone, qu’il soit Français, Belge ou Canadien, n’ayant ici pas le syndrome « du mal de tête » qui est la cause de divorces dans le monde occidental (et qui n’apparaît pas, logiquement dans les causes principales de divorces entre femmes et hommes slaves). La femme slave sera probablement déroutée par l’activité, le comportement intime, la tendresse et la douceur de l’homme occidental. Après un départ plus long, probablement plus harmonieux, le couple franco-slave (et je parle ici très largement de la francophonie, donc des Français, Belges, Canadiens etc.), sera intimement et physiquement beaucoup mieux associé, beaucoup plus « efficace », sans parler des énergies positives dégagées par l’expression physique de l’amour, celui dérivant de l’esprit et du cœur. En la matière, au CQMI, nous sommes des pionniers à parler de cela, même si je vois d’ici quelques mauvaises langues parler d’histoires négatives vécues par quelques-uns, et oui personne n’est parfait, même pas la femme slave, encore moins l’homme francophone. La nuit tous les chats ne sont pas gris !
Il est évident que dans cette distorsion générale de la conception de l’homme occidental par la femme slave, ou l’inverse, les vécus, les sociétés où vous avez évolué ont été prégnants, ils ont imprimé leurs marques en vous. Ces femmes slaves seront surprises par votre personne, autant que vous par elles, mais parfois l’image de l’homme slave s’imposera à elles… à une vendeuse qui voulait me refiler encore des produits en promotion dans un petit supermarché, alors que je répondais ne plus rien pouvoir porter (j’avais déjà un caddy plein et un sac à ramener seul, à pied à la maison), elle me répondit simplement et tranquillement : « un vrai homme a toujours les moyens de porter ce qu’il doit, en toutes circonstances et sans se plaindre... ». Voilà donc dans cette anecdote vécue il y a trois jours, toute la mentalité de la femme slave, l’homme slave porte sans se soucier du poids, ne dit jamais qu’il est fatigué (comme la femme russe par ailleurs !), ne se plaint jamais, ne dit jamais qu’il a envie de quelque chose, encore moins qu’il doit aller aux commodités, n’émet jamais la moindre remarque qui pourrait être prise pour une marque de faiblesse, de mauvaise volonté ou autre. C’est ici que l’homme slave vous rattrapera à travers la femme slave que vous avez au bras ! Et cette dernière ne manquera jamais de vous le rapporter, de vous le faire remarquer et même parfois de vous le reprocher… oubliant un instant qu’elle vous aura choisi vous, Pierre, Paul ou Jacques et non Igor, Boris ou Ivan !
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL