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Comment trouver sa place auprès d’une femme russe, redevenez d’abord… un homme ?
Dans le dernier live de la chaîne YouTube de l’Agence CQMI, Antoine nous parlait d’une chose importante qui est aujourd’hui en passe d’être ignorée, voire oubliée, à savoir la place de chacun, la place de l’homme et de la femme dans un couple. C’est justement à travers le couple d’Antoine et Borislava, ou encore du mien avec mon épouse russe, mais aussi l’exemple d’autres couples dans notre entourage que nous pouvons vous dire qu’il existe en Occident un problème majeur : les hommes (et plus encore les femmes) ont oublié la nature du couple, ils ont oublié que dans un couple, il y a un homme et une femme, à la fois dans une union, mais aussi dans une osmose nécessaire, dans un partage et dans le soutien. Aujourd’hui, pour les hommes francophones de Suisse, de France, de Belgique ou du Québec, et plus largement d’ailleurs en Occident, la place de chacun est devenue floue au point de rendre illisible la notion même de couple. Qui fait quoi et qui est quoi… ou qui, nous en sommes là !
Les pistes ainsi brouillées, de nombreux hommes ont oublié qui ils sont, ce qu’ils sont et jusqu’à leurs désirs. Quoi de plus terrible en effet dans un monde où, par des complexes, des mimétismes, des tendances, les femmes, cheveux courts, ongles courts, jeans informe, chaussures du même acabit, se disent l’égale des hommes… dans la parité politique, en jetant des regards suspicieux sur la gente masculine, l’ennemi des temps immémoriaux, qui dans son éternelle méchanceté a contraint, a contrôlé, a assujetti les femmes, les brisant et les cloîtrant dans un carcan étroit, infernal et nauséabond. La femme dans un sens ; du moins certaines ; ne se sent plus elle-même féminine, ou femme, car dans ce monde d’une égalité contrainte, à marche forcée et finalement mensongère, c’est un combat sexiste, raciste, violent et agressif qui est menée. Derrière cette cohorte de mégères au verbe haut et aux idées aussi courtes que leurs ongles rongés, une autre espèce, restée d’apparence féminine se trouve en face des hommes. Elles ont toute l’apparence des femmes… élégantes, belles, préservées… mais dans leurs têtes encore plus paumées et égarées que celles qui affichent fièrement la couleur.
Moi femme égale de l’homme… je vais te pulvériser… parce que je le vaux bien.
Ces dernières sont féminines donc, apprêtées, souriantes, maquillées, coquettes, elles sont arrivées au terme, à force d’huile de coude, d’une carrière, elles l’entament ou assouvissent les joies caricaturales de l’éphémère et inutile domination qu’elles ont sur des subalternes réduits au rôle d’exécutants serviles. Derrière des carapaces de diplômes ronflants, de grandes écoles de commerce, de Science Po ou tout autre formation du supérieur, elles font des émules dans les « rangs inférieurs », chez les petits cadres, les agents de maîtrises et même dans les sous-bassement du système. Car l’égalité finalement des hommes et des femmes s’arrête se fracasse sur les congères gelées et incontournables de cette société d’hyper consommation. Il y a ceux qui sont en haut, et puis il y a les autres, là s’écroule et meurt à jamais la fameuse égalité de façade. Elles sont pourtant jolies, parfois espiègles et même très intelligentes. Mais elles ont vomi le couple traditionnel comme ringard, étouffant et malsain. Inférieures en nombre par rapport aux hommes, elles ont su aussi comprendre, dans l’indépendance financière de leurs emplois, qu’elles étaient en mesure de jeter comme des malpropres les hommes qu’elles avaient en face d’eux, après avoir usé des tendances de notre époque : le tri sélectif, ou dans l’option la plus violente, le pressurage des citrons...
Ces femmes trient donc les ordures ménagères dans des poubelles de couleurs, jaunes, vertes, bleues ou grises, de la même manière qu’elles trient et ventilent des hommes. Celui-ci n’est plus aussi intéressant ? Il faut mouiller la chemise dans une difficulté familiale ? Pourquoi d’ailleurs devoir mouiller la chemise lorsque l’on peut broyer le problème en lui mettant son poing sur le nez, pour passer à un autre bonhomme, plus avenant, plus souriant, moins bedonnant, moins je ne sais quoi ou un peu plus ceci ou cela ? C’est comme une coque de téléphone, elle protège l’ensemble un moment, et puis la couleur ne plaît plus, une fissure après une chute, voire un téléphone qui ne correspond plus à l’envie... il est périmé ! Au diable la varice, qu’à cela ne tienne, elles ont compris qu’il en ait des hommes comme des téléphones portables ou des poubelles du tri sélectif. On peut trier, on peut choisir la couleur, on peut aussi jeter, remplacer, envoyer au recyclage et puis dans certains cas on peut aussi avoir deux téléphones… et 5 poubelles de couleurs. Après des mois ou des années de vie commune, sans vergogne ces femmes accumulent les blessures d’amour propre, imaginaires ou réelles, comme autant de chausse-trapes, de mines et de grenades qui exploseront à la face des malotrus… ou malchanceux. Quel bonheur infime, quelle jouissance mémorable que celle de défoncer un homme de bas en haut, et de haut en bas, de l’humilier, le castrer et le piétiner, c’est la prise de pied d’un monde où, sans foi, ni loi, ni remords, ni retour en arrière, vous pourrez avec la bénédiction de tous vous comporter comme le dernier des malhonnêtes… sous les applaudissements de la foule. Après tout c’est elle la maîtresse absolue de sa destinée, elle n’est plus déesse, elle est DIEU !
La femme russe ou ukrainienne ou l’antithèse d’un monde de fous, par des fous, pour des fous.
Alors oui, il y a des femmes en Russie et en Ukraine qui prennent ce goût étrange de l’hypocrisie d’une vraie fausse égalité, qui n’ayant aucun sens. Elles rêvent d’Occident, mais là-bas cette égalité fanatique ne doit pas faire oublier que derrière la devise de la République, Liberté, Égalité, Fraternité, chère aux Français, chacun a compris depuis longtemps que la liberté n’est pas égale pour tous et que la fraternité s’arrête à une victoire de football pour une Coupe du Monde, à peu près une fois tous les vingt ans. Cette égalité des sexes qui n’a aucun sens n’a cependant, pour une immense majorité des Russes et Ukrainiens, hommes ou femmes, non seulement pas de signification, mais c’est dans l’incompréhension la plus totale qu’ils observent le monde occidental. Cette incompréhension est double car d’autres dérives sont évidemment à l’œuvre dans ces sociétés slaves, à chacun ses maladies, ses atouts et ses défauts. Mais passons sur ces derniers, pour l’heure dans ce monde chacun des membres du couple, et plus largement de la famille, de la cellule familiale plus ou moins élargie s’épanouit naturellement à une place qui coule de sens. Antoine déclarait avec justesse que dans un couple avec une Slave, « les choses s’imbriquent naturellement, tout est naturellement à sa place, logiquement, tout est fluide ». S’il ne s’agit pas très exactement de ses mots, c’est bien l’esprit et je vis également ce fait, il n’y a pas de prises de tête dans un tel couple, chacun est sans réfléchir déjà à sa place. Tout est évidence !
La Place de l’Homme dans la Société
J’entends déjà des Occidentaux se rebeller et me lancer que non la place de la femme n’est pas à la cuisine ou à la maison… OUI ! Mais cette question ne se poserait pas dans un couple russe. Il y a une complémentarité essentielle qui fait justement la magie d’un homme avec une femme. La question a-t-elle en réalité de l’importance ? Nous trouvons au point de « compter les petites cuillères » ? Dans mon expérience personnelle, marié et en couple avec une femme russe depuis 10 ans, je cuisine, je fais le ménage, je fais les courses, je repasse et j’apprécie faire les magasins avec ma compagne pour l’aider à choisir ses atours. C’est naturel, il n’y a pas eu de négociations, compromis, cette fameuse culture du compromis occidental et peut-être bien aussi typiquement français. Mais mon épouse a de grands cheveux longs, porte des tenues féminines en toutes circonstances ou presque, y compris dans nos randonnées alpestres… peut-être même dans nos expéditions « champignonesques », car comme Boryslava, je cultive une passion familiale de la ramasse des champignons, hasard drôle des similitudes du monde simple des Slaves, simplicité qui ne veut pas dire et de loin, ennui. Comme Antoine je vis exactement cette non lutte dans mon couple et je pense que l’immense majorité des couples occidentaux sont en lutte. C’est un monde ou les comparaisons ne sont pas mère de discordes, de critiques. Il n’y a aucune lutte existentialiste pour se demander si la femme est assez l’égale d’un homme, qui totalement perdu n’a même plus les forces d’expliquer que non être à sa place n’a rien à voir avec une cuisine… ou le machisme. C’est réellement être fou que de penser que l’on puisse construire un monde et un avenir dans une lutte permanente contre l’autre sexe. Vous n’aviez pas remarqué que dans ce monde occidental sont nés la lutte des classes… et la guerre des sexes ?
Retrouvez la vraie valeur de l’autre et le retrouver sur le seul terrain qui vaille : un amour vrai.
Jamais le monde occidental ne fut si malade qu’il se trouve aujourd’hui. Le plus important curseur pour définir ce malaise c’est le taux de célibat, 26,8 % en France, en Belgique une annonce de 2015, annonçait qu’à l’horizon de 2060, 50 % des Belges seront célibataires, à l’heure actuelle le taux est légèrement supérieur à celui de la France. En Suisse Romande, le taux de célibataire est déjà à 36 %, plus grave encore en Suisse alémanique avec 42 % de célibataire, une situation catastrophique pour l’avenir. Si l’on prenait le chiffre de 2012, pour la Suisse Romande, nous sommes passés de 29 à 36 % en moins de six années. Au Canada la situation n’est pas meilleure, le média Radio Canada annonçait un taux record de célibat au Québec de 33 % en 2017, pour une moyenne située à 28 % pour l’ensemble du Canada. A ce sujet, l’on voit donc une différence assez notable d’une crise plus profonde dans le monde francophone que dans le monde anglo-saxon. Mais où ceci s’arrêtera-t-il ? Et bien à l’Agence CQMI nous aurions envie de vous dire que ceci s’arrêtera quand l’amour redeviendra la valeur principale des couples et des personnes. Quand nous disons Amour, nous parlons des valeurs qui vont avec, à savoir l’Honneur, la Fidélité, la Ténacité, la Patience, la Tolérance, la notion de don de soi, de sacrifice, mais au sens partagé, au sens commun et consenti. Ces valeurs véhiculent la sérénité, la famille, la volonté d’avoir des enfants, de les chérir et de les accompagner dans leur existence jusqu’au bout, la notion d’amitié et de partage avec des amis dans la durée, l’envie de la découverte, la curiosité, l’engagement associatif, le goût de l’effort, la passion de choses diverses qui seront elles aussi développées et transcendées au sein d’un groupe dont vous ne serez qu’une partie, mais une part lumineuse et enthousiaste. Il n’y a donc pas de secrets, pour aimer, vous devez d’abord vous aimer, vous connaître, savoir ce que vous voulez, et surtout ce que vous valez. Les gens qui se mentent à eux-mêmes sont déjà dans l’échec.
Mais face à des femmes qui refusent de continuer à l’être, d’autres qui vous auront mis KO sur un ring où vous n’aviez même pas eu l’impression de vous trouver, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qu’ils veulent, qui ils sont, ce qu’ils sont : vous êtes prêts. La femme slave sera toutefois sans concession, prenez garde ! Bien plantée dans son rôle, d’épouse, de femme, de mère, d’amante et de confidente, elle ne sera pas du genre justement aux compromis. Si vous marquerez des points parce que vous ne rechignerez pas à pousser la poussette de votre enfant, si vous pourrez vous mettre derrière les fourneaux pour lui cuisiner un plat succulent, si vous saurez vous placer sur un terrain qui lui montrera l’immense supériorité que vous pourriez avoir sur un homme slave, elle ne pardonnera pas les manquements, n’aura pas de migraines intempestives mais s’attendra à sentir votre courage, votre force et votre volonté. Les hommes en demi-teinte, sans caractère, sans perspective, au sein propre et large du terme seront cloués au pilori, parce qu’une femme slave s’attendra à ce que soyez à la place qui est la vôtre, que vous la preniez sans vous faire prier, que vous en assumiez le rôle, les conséquences, et que vos paroles soient exactement en face de vos actes.
Êtes-vous toujours sûr de vouloir épouser une femme slave ? Nous vous le souhaitons, un dicton ironique dit « Je suis marié avec une Russe, rien ne peut me faire peur ! ». Alors dans la transparence de l’Agence CQMI, dans les conseils d’Antoine Monnier et ses très nombreuses vidéos, peut-être devriez-vous aussi laisser votre peur sur le bord du chemin et venir frapper à notre porte.
Antoine Monnier
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL
Dernièrement par Antoine Monnier
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