A travers l’expérience d’Antoine Monnier directeur de l’Agence CQMI, marié avec une Ukrainienne, et celle d’Hervé Jouhet marié quant à lui à une Russe, nous allons tenter au moyen d’une chronique particulière sous la plume du second de vous présenter quelques standards et quelques conseils à l’usage d’hommes francophones qui rêveraient, espéreraient et décideraient de créer une relation maritale avec une femme russe ou ukrainienne. L’un comme l’autre ont écumé le monde slave, tant l’Ukraine, que la Russie, mais aussi d’autres pays périphériques. L’un comme l’autre sont passés par une étape de recherche amoureuse similaire, faite de rêves qui se sont réalisés… mais pas tout seuls ! L’un et l’autre sont parfaitement russophones, ont étudié en Russie la langue de Pouchkine, le premier a longuement résidé dans le pays et dans la ville mythique de Saint-Pétersbourg, en passant par la Sibérie, le second est moscovite, cœur palpitant de la Russie, après avoir connu l’Oural et le Sud du pays.
Vous ne savez pas encore ce qu’est une femme papillon, ou une papillonneuse des campus ? Vous allez dans cet article rapidement comprendre que le choix d’une agence matrimoniale comme CQMI, n’a absolument rien de ringard, bizarre ou stupide, bien au contraire. Comme des milliers d’Européens et de francophones, le réflexe de beaucoup sera de se précipiter sur ce qui est facile, gratuit ou peu cher, mais qui vous conduira souvent à des catastrophes, des échecs, des escroqueries et finalement vers des désillusions. Choisir une agence matrimoniale sérieuse comme CQMI, dirigée par un couple franco-canado-ukrainien, lui-même formé sur les bases d’une rencontre matrimoniale assistée, sera votre meilleure garantie d’avoir des gens voulant vous faire partager le bonheur qu’ils vivent. C’est également aussi mon cas, moi qui ait rencontré mon épouse russe, non pas par une agence, mais par un site de rencontre. A cette époque, en 2008, si l’Agence CQMI avait existé alors sans doute j’aurais fait le pas de m’inscrire. Aujourd’hui j’ai conscience de la chance inouïe de ma réussite dans la recherche de ma deuxième moitié à l’Est, je pourrais même dire que je suis… un survivant parmi la cohorte nombreuse des candidats à l’amour à l’Est. Pour appuyer mon propos, je vous présente aujourd’hui la femme papillon (et la papillonneuse des campus dans un autre article) slave, un danger réel, qui ne représente pas une escroquerie, mais plutôt l’usage de manipulations et stratégies pensées et calculées. Les femmes slaves ne hausseront pas tout de suite la voix, car bien sûr il existe des femmes papillons, ainsi que des hommes papillons dans tous les pays du Monde. Au vu de la nature de l’Agence CQMI, nous ne parlerons que des femmes slaves papillons.
La femme papillon russe ou ukrainienne possède quelques caractéristiques caustiques et dangereuses pour tout homme sérieux qui chercherait une épouse. Sa démarche n’étant pas réellement sérieuse, elle ne se trouvera jamais, ou presque jamais dans une agence matrimoniale où elle serait obligée de payer une inscription. Son profil est en principe celui d’une femme assez jeune dans la tranche des 18-30 ans, mais toutes les tranches d’âges peuvent être concernées avec toutefois beaucoup moins de femmes papillons dans la catégorie des femmes de plus de 45 ans. C’est un phénomène qui fait actuellement des ravages dans le Monde entier et qui s’explique de plusieurs manières, pour bien comprendre de quoi nous parlons, penchons-nous sur un article russe que je vais vous traduire en partie, du 11 janvier 2018, d’un journal féminin internet dénommé Passion Ru[1] (voir le lien en bas de l’article). Cet article qui n’est pas signé (et pour cause !) vous en dira très long sur ce qu’est la femme papillon et son danger dans une rencontre en roue libre, sur un site lambda de rencontres[2]. Sous le titre « La rencontre avec des étrangers sur Internet, pour qui et pourquoi serait-ce nécessaire ? », l’article commence par nous expliquer que la rencontre avec des hommes étrangers est très populaire en Russie, mais que les raisons principales ne sont… pas du tout dans l’intention de se marier. L’auteur décline alors ensuite cinq raisons importantes pour pratiquer les sites de rencontres.
En premier lieu parce que justement, en choisissant un étranger habitant dans un pays lointain… cette rencontre se fera sous le signe du confort et bien sûr… de la non rencontre. Il s’agira là uniquement de ressentir des émotions virtuelles et romantiques positives, l’idée que vous pouvez plaire, l’idée que vous êtes attirante et désirée, l’impression de vivre une grande histoire d’amour… mais sans aucun engagement. L’auteur, probablement une femme, conclut en affirmant qu’aucune femme sur de tels sites de rencontres « ne dois rien à personne ». C’est le niveau zéro de l’engagement, juste une façon de ressentir des frissons, des émotions en restant libre comme l’air. Ainsi de cette façon, la femme papillon sera assurée que l’homme en question ne pourra presser la rencontre réelle, qu’il aura la contrainte des kilomètres, des visas… longuement cette journaliste sans scrupule décrit enfin le confort que cette femme pourrait avoir à papillonner de profils en profils, à ouvrir des romances multiples et simultanées, et même à avoir des relations réelles dans son pays… pendant ce temps. C’est une sorte finalement de jeu type TV réalité, de jeu vidéo relativement excitant « sans que vous ne risquiez rien, sans rien devoir à personne, mais dans le même temps en vivant dans une romance amoureuse », perpétuelle et sans cesse renouvelée et entièrement gratuite.
Deuxième raison phare, le voyage. Selon l’article la rencontre d’étrangers sur internet serait alors le moyen le plus rapide et le plus efficace pour « découvrir un guide dans différentes villes inconnues », qui de plus vous feront visiter les endroits les plus intéressants et non fréquentés des touristes, vous emmèneront dans des magasins où vous pourrez vous procurer des « produits locaux » à des prix défiants toute concurrence et loin de ceux proposés aux touristes. L’auteur ne se risquera pas à décrire plus en avant la technique, qui est alors celle de la Croqueuse de Diamants que nous avons déjà évoqué dans un précédent article sur les scammers à l’amour. Mais il y a ici une certaine subtilité, dans le sens ou, joignant l’utile à l’agréable, la porte ne serait pas fermée à un échange de bons procédés, à savoir la venue de l’étranger pour un voyage similaire (une très faible éventualité !). Cependant même dans le cas de figure de la venue « du candidat fiancé », il y aura peu de chances pour la femme papillon de se risquer dans une embuscade, puisque le galant homme sera alors logé dans un hôtel et que se cachant derrière de hautes valeurs morales, elle ne risquera nullement d’être inquiétée par un soupirant trop entreprenant. S’il n’est pas dit explicitement que vous pourriez aussi éventuellement vous faire payer ce voyage entièrement par la générosité de votre « amoureux transis », ainsi que de vous faire offrir un certain nombre de cadeaux et de sorties, la chose bien sûr, coule de sources.
Ce troisième point pourrait se traduire également par « une relation intéressée ». Quels que soient les centres d’intérêts ou les buts et objectifs dans la vie réelle de la femme papillon, il se pourrait bien que parmi lesdits étrangers, puissent se trouver un ou plusieurs personnages qui serviront d’autres desseins. C’est ici un des plus noirs sentiments que de se lancer dans une série de rencontres sur internet avec des hommes étrangers… parce que vous aviez le désir d’aller voir le concert de telle vedette de la chanson à New York, ou que vous êtes passionnée d’alpinisme et rêviez d’escalader le Mont Blanc avec un vrai guide alpin, ou encore que vous cherchiez un partenaire pour investir dans un business que vous auriez eu du mal à le faire démarrer avec vos petites… ailes de femme papillon. Cette dernière optique se rapproche grandement de la scammer à Schengen, mais avec des intérêts différents et matériels, dépassant ici l’argent, pouvant aller aussi dans l’étoffement d’un réseau, ou l’entrée dans un réseau d’influence. Quoi de plus valorisant par ailleurs que de parler de « ses bons amis étrangers »? Quoi de mieux que de tisser des liens factices avec de futurs partenaires d’affaires qui eux verront en vous la femme de leur vie ? Au besoin, la femme papillon pourra par ailleurs se passer de vous, après avoir absorbé la sève de vos réseaux et trouvé plus loin plus intéressant.
Pour cela vous penserez bien sûr d’abord… au site de rencontre, c’est ainsi que l’auteur explique « qu’il est bien connu et de longue date, que la meilleure façon pour apprendre une langue… c’est de pratiquer celle de l’amour »… mais en oubliant de dire que cet amour ne sera réellement partagé que par le brave « pigeon » qui aura mordu à l’hameçon. Mieux encore, l’article indique que vous pouvez pour une fois « honnêtement » déclarer cet objectif d’apprentissage de la langue du soupirant… en l’annonçant secondaire (mais en réalité stratégiquement le seul, ou l’un des seuls objectifs). Pire encore, le conseil donné est que la femme papillon devra multiplier les contacts « amoureux » pour étendre ses relations à des cercles de plus en plus grands, afin de rechercher ceux supérieurs qui lui offriront un niveau de langue et de conversation riche et suffisant. Les hommes victimes de cette manipulation seront alors… de confortables professeurs de langue, très attentionnés, toujours prêts, selon l’idée qu’ils auront que leur chère dulcinée, d’une manière courageuse et volontaire, apprend déjà leur langue maternelle… par amour pour eux. L’article enfonce le clou en expliquant que « la possibilité des chats de discussions instantanées et des visioconférences quotidiennes, vous permettra de pratiquer avec succès la pratique de l’oral et également celle de l’écrit ». Professeur, répétiteur, correcteur, à disposition même le dimanche et entièrement gratuit voilà en effet une belle aubaine...
C’est en effet le final de l’article qui indique que malgré toutes les meilleurs raisons évoquées plus haut… vous pourriez bien vous laissez tenter par un mariage avec un étranger, cette partie de l’article et conclusion tenant en seulement... six mots… L’auteur ne pouvait décemment pas poursuivre son article sans risquer des plaintes et des problèmes judiciaires, car la suite est effectivement bien connue c’est le parcours typique des escrocs à l’amour que sont les croqueuses de diamants ou les scammers Schengen.
Vous aurez bien compris que les femmes papillons seront faciles dès lors à éliminer dans le sein d’une agence telle que CQMI. Grâce au travail préliminaire de Boryslava et Tatiana à Kiev qui s’occupent de faire le tri dans les candidates, de très nombreux profils ne sont jamais inscrits sur le site CQMI, car les personnes malintentionnées face à des questionnements réels, un contact en langue russe ou ukrainienne, ont du mal à cacher leur manque de motivations, ou le caractère douteux de leurs démarches. Certaines rares, qui passent tout de même les mailles du filet sont alors repérées par les hommes francophones lors des rencontres, d’autres signalées par les assistantes CQMI sur place qui jouent un très grand rôle dans l’appréciation des candidates femmes. Il va sans dire que la femme papillon slave à des émules dans le monde entier, et que des hommes papillons de toutes sortes existent dans le monde. L’incroyable article que je viens de vous présenter est une preuve concrète, que dans le monde d’aujourd’hui, comme du passé et du futur, de très nombreuses personnes n’ont aucun scrupule pour arriver à leurs fins, et que l’honnêteté est une chose rare et précieuse. C’est justement là, un garde-fou important que représente l’Agence CQMI pour nos futurs clients, en premier lieu faire une véritable sélection, en second lieu protéger nos candidats francophones, en troisième lieu défendre également nos candidates slaves, en quatrième lieu en garantissant une immense majorité de femmes sincères et véritables, enfin en sauvegardant aussi l’image de la femme slave, russe ou ukrainienne si souvent décriée, galvaudée ou écorchée.
Ce triste journal russe, par ailleurs répertorié comme « ressource pour les femmes intelligentes », ne doit surtout pas être pris pour une généralité. Le monde russe, comme le monde francophone sont peuplés de gens différents, de gens intéressés, de gens vénaux, d’autres aux objectifs plus simples, comme celui de vivre honnêtement, de fonder une famille, de créer des liens amicaux, de trouver une unique femme avec qui faire sa vie. C’est ainsi qu’à toujours été l’humanité. Mais en cherchant une femme russe, ou ukrainienne, vous devez assurément mettre toutes les chances de votre côté, et si dorénavant vous préférez tout de même les sites de rencontres basiques… peut-être serait-il plus judicieux de vous accuser ensuite de votre échec, plutôt que de charger « des mules » bien pratiques. La seule personne qui aura finalement pris les mauvaises décisions : ce sera vous. Les sites de rencontre gratuits, ou minimalistes seront justement les endroits rêvés pour toutes les sortes d’escrocs, de scammers, de gens malfaisants ou intéressés, libre à vous d’emprunter ces chemins dangereux… ou de choisir d’investir un peu d’argent, qui au final pourrait être celui que vous aurez le mieux investi dans toute votre vie : vous assurez un bonheur conjugal… inégalé avec une épouse russe ou ukrainienne ! Cependant, si nous ne sommes pas ici pour dénigrer nos confrères, force est de constater que dans les agences matrimoniales classiques, notamment celles destinées aux rencontres à l’Est, et principalement en Ukraine, vous ne serez pas non plus exempt de mauvaises surprises. La première chose que vous devrez prendre en compte face à une agence matrimoniale c’est les espaces internet, site et réseaux sociaux. Montreront-ils seulement des profils de femmes attrayantes et parfois légèrement habillées, trop bien présentées, de femmes poupées qui pourraient défiler pour de grands couturiers parisiens ou italiens ? C’est ici déjà un premier signe des agences que vous devrez éviter. La seconde chose ce sera les informations que vous découvrirez sur qui se trouve derrière ladite agence. Trouverez-vous beaucoup d’informations, seulement quelques lignes dans un texte ? Et si cette agence produit des vidéos qu’y découvrirez-vous, quel en sera le contenu ? Dans l’Agence CQMI, vous aurez la chance de découvrir bien sûr des vidéos de profils, mais aussi les dizaines de vidéos d’Antoine Monnier, ainsi que celles avec Boryslava, notamment lors des LIVE hebdomadaire de chaque dimanche (20 heures, heure de Paris). Si quelques concurrents font des vidéos, vous découvrirez vite que le problème principal reste dans l’esprit et les raisons de devenir marieurs. Un couple tel qu’Antoine et Boryslava s’étant formé par une rencontre matrimoniale via une agence, ne peut avoir à cœur que la réussite des clients de l’entreprise de services qu’est CQMI, tant des hommes que des femmes. Un franco-canadien, une ukrainienne, un grand amour, c’est un schéma que vous ne retrouverez dans aucune des autres agences matrimoniales proposant de rencontrer des femmes slaves. Cette garantie est énorme, car vous n’aurez pas en face de vous de simples hommes ou femmes d’affaires (d’ailleurs étrangement ou cocassement presque tous originaires d’Ukraine), aux intentions plus ou moins claires. L’Agence CQMI c’est une histoire de vie, des tranches de vie que racontent Antoine et Boryslava, c’est autre chose qu’un simple business. Comme Antoine aime à le dire parfois, c’est aussi une philosophie de vie, avec des conseils qui vont au-delà des recommandations d’usages à avoir avec une femme slave, russe, ukrainienne. Ce qui aura de l’importance ce sera bien sûr de mettre sur la touche les scammers, comme la femme papillon et bien d’autres. Ce qui sera notre objectif ce sera que vous fondiez comme Antoine et Boryslava, ou comme moi-même et mon épouse Elena, un couple heureux, solide, aimant, serein et qui durera dans le temps. Voilà bien le but principal de marieurs, comme il existait autrefois des marieuses dans nos campagnes, ce but c’est l’amour, pérenne et qui ne soit construit que sur des bases solides et saines que nous pouvons et devons créer pour vous !
Agence CQMI et Hervé Jouhet.
[1] https://www.passion.ru/psy/brak/zachem-nuzhny-brachnye-agentstva-v-epohu-interneta-153615.htm .
[2] Ce journal internet Passion Ru, le journal féminin est possédé par le groupe russe Rambler and Co, du milliardaire russe Alexander Mamout, pesant une fortune colossale de 2,3 milliards de dollars… tirant sa fortune de diverses sources, notamment et surtout dans la banque, les médias, les salles de cinéma, notons avec humour que sa seconde épouse a deux enfants qui ne sont autres que les arrières-petits-enfants d’un certain Léonid Brejnev !
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL