Pour tuer la concurrence nous allons voir dans cette vidéo que cela passe par 2 étapes :
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S’inscrire dans une agence sélective sur ses membres
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Suivre les conseils quand on est inscrit dans l'agence matrimoniale
Une des plus grandes qualités des hommes qui sont en réussite sont ceux qui arrivent à Kiev sans avoir de trop grosses attentes et qui sont conscients que la rencontre amoureuse est un domaine qui n’est pas scientifique. Tout ce que vous pensez, croyez être vrai, peut s’avérer être faux, ou plutôt différent de la réalité du terrain, car rien n’est vrai ou faux. Il n’y a que des expériences. Le secret de la réussite repose sur 2 ingrédients essentiels : sortir des sentiers battus et savoir écouter les conseils de l’équipe.
Au départ 4 exemples de scénarios qui ne se sont pas déroulés comme prévu
Premier cas de figure :
Le cas de cet homme qui ne souhaite pas faire de photos professionnelles. Pourtant il écrit son profil avec beaucoup de plaisir et d’envie. Qui n’aime pas écrire ou parler de soi-même ?
Ses photos, quoique de bien mauvaises qualités, lui plaisent énormément. Il se trouve beau sur ses photos. L’image qu’il dégage lui plait.
Deuxième Cas de figure :
Jeune homme qui ne veut pas utiliser d’assistante CQMI car il a l’habitude de voyager mais il ne veut pas d’intermédiaire lors d’une rencontre sentimentale.
Troisième cas de figure :
Jean-Luc qui avait tout prévu à l’avance et qui communiquait chaque jour avec Tatiana, raison pour laquelle il a annulé sa 3ème rencontre avant le voyage.
Malheureusement, la rencontre à Kiev ne s’est pas produite comme il a espéré.
Quatrième Cas de figure :
Le cas de l’homme qui a fait son choix sur une adhérente avant le voyage et qui après la première rencontre se fait dire que la femme n’est pas intéressée à continuer.
Je vous raconte 2 histoires vraies en rapport avec ces différents scénarios:
La première histoire est une histoire thérapeutique par rapport aux exemples 1 et 2
Histoire de la moto qui termine dans la Bruche à Schirmeck en Alsace dans le Massif des Vosges.
Cette histoire m’a tellement marquée et pourtant j’étais encore tout petit. C’est une histoire fondatrice de ma personnalité.
Nous nous trouvons en Alsace à Schirmeck dans le massif des Vosges à l’automne, alors que les feuilles des arbres commencent à tomber. Je dois alors être âgé de 15 ans au grand maximum. Notre voisin est un de mes camarades d’école même s’il est un peu plus âgé que moi. Ils ont une maison sur le bord la rivière, la Bruche.
Mon ami s’appelle Jean et il a un grand frère beaucoup plus âgé que lui qui a passé son permis de moto pendant l’été et fait l’acquisition d’une rutilante 125 cm3 comme on les appelait à cette époque.
Le grand-frère de mon ami est non seulement devenu motard mais il a également une petite amie qui habite un des villages voisins dans la vallée.
Après une semaine de travail, le grand-frère n’a qu’une hâte c’est de rouler sur sa moto. Même si les températures sont fraiches avec l’hiver qui pointe le bout de son nez. Il s’habille chaudement, sort la moto du garage avec son casque rouge.
Son père est lui aussi levé tôt le matin et il se surprend de voir son fils réveillé d’aussi bonne heure. Il comprend aussitôt en voyant la moto.
-Tu vas faire une ballade ? demande-t-il
-Oui je vais à Wisches, répond-il sobrement, ennuyé de trouver son père tôt le matin
Son père chaudement habillé semble pensif et il regarde au loin les toits de la ville, qui sont déjà couverts de givre.
-Tu feras attention sur la route lui dit-il, les toits sont tous blancs. La route est surement mauvaise.
Le fils qui n’avait vraiment pas envie d’avoir ce genre de discussion avec son père à 7 heures le matin, le regarde avec un sourire narquois :
-Je ne roule pas sur les toits mais sur la route…
Son père se tait, le regarde enfourcher sa 125, mettre son casque et partir à pleine allure vers la route nationale et le pont qui traverse la Bruche.
Au premier virage il perd le contrôle de sa 125 et termine sa course dans la Bruche. Plus de peur que de mal mais la moto est foutue.
La seconde histoire est une histoire thérapeutique selon les exemples 3 et 4
Seconde histoire : Halloween et David Gordon
Le petit David habite une petite ville du Midwest américain et chaque année il attend le 31 octobre avec une excitation non simulée. C’est clairement pour lui le point d’orgue de l’année.
L’année dernière il a eu un succès inespéré avec son costume de Pirate que sa mère l’a aidé à confectionner. Il a reçu des tonnes de bonbons et il a suscité l’envie et la jalousie de tous ses camarades de sa classe. Il a même gagné un prix avec son costume de Pirate qui faisait vraiment peur : cicatrices sur le visage, sabre couvert de sang, cache-œil et même une jambe en bois pour faire encore plus vrai.
Mais attendez, vous n’avez encore rien vu pense-t-il. Cette année, je vais faire encore mieux…
Cela fait quelques temps que David murit un projet révolutionnaire. Toutes les fins de semaine, il s’enferme dans le garage de son père pour travailler sur son costume. Ce sera : un Robot !
Oui il a décidé de faire de sa passion, son prochain costume. Il a même inventé des accessoires absolument incroyables. Il a installé des lumières qui marchent avec des piles, il a même installé un bras automatique pour tendre une boite pour ramasser les bonbons.
Il a utilisé une boite de carton qu’il a renforcée avec du Scotch tape, qu’il a entièrement repeinte… Il a fait des trous pour ses yeux et il a testé son costume un dimanche après-midi, une semaine exactement avant le grand jour…
Maintenant il ne reste plus qu’à compter les jours, il arbore une superbe mine de vainqueur. Quand ses amis lui demandent quel sera son costume, il reste évasif… Vous verrez dit-il. Il sait qu’il est très attendu après son triomphe de l’année dernière.
Pourtant pour une raison inconnue, sa mère est un peu inquiète.
-Es-tu certain que ce soit une bonne idée David ?
Sa mère avait été la précieuse créatrice du costume de Pirate l’année dernière mais elle avait été écartée cette année. Grisé par ses exploits passés, David avait voulu innover un peu plus, et puis il approchait de ses 11 ans tout de même !
Le grand soir arriva. Il faut bien comprendre qu’Halloween se déroule à la nuit tombée le 31 octobre.
David était surexcité, il attendait dans le garage en testant et retestant son système de lumière et de bras articulé pour demander des bonbons.
Contrairement à l’année dernière, la météo n’était pas particulièrement accommodante cette année. Il tombait depuis le matin une pluie dense et serrée et pour ne rien arranger, la température avoisinait le point de congélation. Les bourrasques de vent faisaient revoler les feuilles jaunies sur les trottoirs. Bref, un temps à ne pas mettre un chien dehors…Mais il en fallait plus pour décourager David.
À 18 heures, alors que la nuit était déjà tombée, David se décida à revêtir son costume de robot. Habillé chaudement avec des bottes de pluie, David enfila son carton en faisant bien attention au bras articulé et aux lumières. Il mit ses yeux en face des trous et se dirigea vers la porte du garage.
Sortie du garage, un pas, deux pas, tout semble bien aller. Il descend l’allée pour se rendre en ville et arrive devant la première rue. Il fait nuit noire, il étouffe dans son costume et peine à discerner ce qui se passe devant lui.
En marchant il frappe une roche avec ses pieds et s’étend de tout son long dans une flaque boueuse.
David commence à paniquer mais il reste calme, il enlève son costume et court à la maison. Il doit agrandir la taille des yeux. En effet il ne voit rien dans la nuit. Il lui reste encore 30 minutes avant le début des festivités.
Il arrive au garage, littéralement arrache les ciseaux et taille des yeux pour les trous beaucoup plus grands. Cette fois, cela devrait aller mieux, pense-t-il.
Il se rhabille en grelottant, il est trempé suite à sa chute. Le carton du robot s’est ramolli mais il tient encore. Le plus important c’Est que les lumières marchent encore et le bras articulé pour demander des bonbons.
Vers 19h15, avec difficulté, finalement David rejoint un groupe d’enfants qui courent dans la rue principale avec des paniers de bonbons déjà bien garnis. Il aimerait lui aussi pouvoir courir mais son costume ne lui permet pas.
Il doit rattraper son retard. Il arrive devant la première porte avec une grosse citrouille effrayante de chaque côté. Cette maison donne beaucoup de bonbons. Il est seul se retrouve devant la porte, vérifie que sa lumière et son bras articulé fonctionnent puis il s’apprête à sonner.
Stupeur…
Il a pensé à tout, mais il n’a pas pensé à la sonnerie. Comment faire pour sonner ?
Le lendemain, David n’est pas allé à l’école. Il était malade. Sa mère a essayé de calmer l’immense tristesse de son fils mais en vain. David est humilié, en colère. Il a réduit en bouillie son costume de robot et il répond à ses parents que plus jamais il ne fêtera Halloween.
Conclusion : Comment tuer la concurrence ?
Étape 1 : s’inscrire dans une agence qui filtre les hommes = supprimer la concurrence
Cet homme qui préfère ne pas utiliser d’assistante car il ne veut pas d’intermédiaire dans une discussion sentimentale, a négligé plusieurs aspects de taille : la différence culturelle ou encore le fait que les femmes en règle générale préfèrent la présence d’une assistante.
Par exemple : le fait d’avoir une voiture à crédit est un facteur d’inquiétude pour les femmes slaves.
Cet homme qui ne veut pas faire de photos professionnelles sous prétexte que notre concurrent accepte ses photos de faible qualité a négligé un facteur important. Dans cette agence concurrente il n’y a pas de refus car les dés sont truqués.
Étape 2 = suivre les conseils quand on est inscrit
Cela ne se passe pas toujours de la manière qu’on avait prévu que cela se passerait.
Jean-Luc en préparant son questionnaire sur la vie à 2 en France avec Tatiana avait négligé un aspect fondamental : la séduction de Tatiana. Était-elle intéressée à vivre avec moi en France ? (Importance de suivre les conseils sur le fait de rencontrer plusieurs adhérentes) – En refusant les conseils sur le nombre de rencontres, on se complique sérieusement la tâche.
Question importante : est-ce possible réellement de tout prévoir ?
Préparer ce qui est possible de préparer et ensuite rester ouvert en cas d’évènement imprévu.
Probablement parce qu’on a oublié un ou plusieurs facteurs importants dans l’équation pour que cela réussisse.
Le message important est que lorsqu’on succombe à la facilité on se retrouve qu’on le veuille ou non à évoluer avec des milliers d’autres hommes qui ont choisi eux-aussi la facilité. En négligeant les étapes de qualification on se complique sérieusement la tâche pour plus tard.
Comment réussir et faire en sorte que le scénario se déroule le mieux possible. On observe que les personnes qui s’inscrivent au CQMI suivent les conseils et font moins d’erreurs. En vous inscrivant chez nous vous éliminez la concurrence pour 2 raisons
- Peu de clients hommes
- Des conseils avisés pour réussir
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