Après avoir trouvé le site internet de l’Agence CQMI par hasard en consultant une vidéo CQMI, Philippe a tout de suite aimé la transparence de l’agence, ce qui lui a donné confiance immédiatement. Il a également contacté Pierre Jabot, représentant du CQMI en France, qui a été très clair de prendre le temps et de tout lui expliquer. Les entretiens téléphoniques ont tout clarifié le questionnement autour du fait de rencontrer une femme en Ukraine et le processus de rencontre. La décision de passer à l’action a été prise assez rapidement, en 1 mois et demi pour participer au voyage de novembre 2017. Les vidéos du CQMI donnent un côté transparent et le fait que le directeur parle français et soit facilement accessible, ont été également des facteurs importants dans la prise de décision de s’inscrire au CQMI.
La communication avec les adhérentes du CQMI avant le voyage en Ukraine
La période de communication à distance par Skype, Email, Viber et autres technologies, est très chronophage selon Philippe qui explique s’être investit comme pour un 2ème emploi. Après le travail, c’est une seconde journée qui commence pour sélectionner ses adhérentes à rencontrer. Certaines conversations sont très intéressantes et d’autres le sont beaucoup moins. Avec certaines femmes le dialogue est soutenu et il peut être très décousu avec d’autres. C’est justement le but de la période préparatoire au voyage.
Le choix des femmes à rencontrer en Ukraine
Philippe s’est démarqué par les choix intelligents qu’il a fait en axant ses sélections pas uniquement sur le critère physique mais sur d’autres aspects. Philippe note avec un certain humour que de toute manière toutes les femmes sont belles en Ukraine. Il ne sert donc à rien de se focaliser sur cet aspect. Ce n’est pas en épousant la plus belle femme du site qu’on sera le plus heureux ! Son objectif n’était pas de ramener la plus belle femme d’Ukraine. Son objectif était de rencontrer la femme avec qui il sera heureux. C’est une grande sagesse. Certaines communications avec des très jolies filles ont d’ailleurs été assez rapidement clôturées. Les critères de sélection de Philippe étaient notamment la motivation et les activités sportives. Il note que les profils de l’agence ne sont pas suffisamment détaillés, car après avoir vu la section À propos de moi, on reste un peu sur sa faim. Sur la section, quel homme elles recherchent, il regrette que les détails soient assez standard. Les femmes recherchent un peu toutes la même chose, c’est-à-dire un homme prévenant qui soit attaché à la famille, attentionné et qui inspire confiance.
Les questions posées lors des rencontres à Kiev
Philippe a bien réfléchi aux questions à poser pour les rencontres car il explique que la contrainte du temps réduit à Kiev oblige l’homme à aller à l’essentiel en posant des questions directes. Nathalie, assistante de Philippe a retenu la question pertinente pour savoir si la femme qu’il rencontre s’est préparée à changer de pays. Pour Philippe, il est très important qu’il rencontre une femme ukrainienne qui s’est déjà mentalement préparée à l’immigration vers son pays d’accueil (France, Canada, Suisse, Belgique ou autre).
Faut-il savoir parler anglais pour réussir ? Sur le rôle de l’assistante
Philippe voit le fait de ne pas parler anglais comme un véritable problème, contrairement à Jean-Louis qui n’en avait pas du tout souffert dans son voyage à Kiev. Quand l’assistante est présente ce n’est pas un problème mais quand la communication devient plus personnelle c’est difficile. La communication avec Nathalie, son assistante a été immédiatement sur la bonne note, avec des moments de rire et de complicité. Nathalie appelait Philippe chaque soir pour vérifier que tout se passait bien et qu’il était en sécurité.
Au sujet du Groupe sur le voyage de Novembre 2017
Notre plus grand groupe depuis la création de l’agence matrimoniale CQMI a été un vrai succès car cela donne de la gaieté au voyage. Les mots employés par Philippe sont : relation, partage, dynamique. Certains hommes se permettent même de donner des conseils aux autres membres du groupe. Tu as la possibilité de rencontrer des personnes totalement différentes, ce qui rend les choses assez drôles. Le phénomène groupe est intéressant car en étant seul cela peut être assez difficile. Quand il y a un groupe, il y a un état d’esprit positif. Cela évite de rester seul le soir dans sa chambre d’hôtel et de déprimer dans un pays totalement étranger dans lequel on ne connait ni les traditions et la langue.
témoignage d'un autre Philippe du Canada cette fois :
Les femmes ukrainiennes et les rencontres à Kiev
Pour son premier voyage en Ukraine, Philippe a compris que ces femmes avaient réellement envie de fonder quelque chose. Le choix à faire est parfois difficile, il faut rester centrer et ne pas se disperser. Philippe pense que 8 rencontres c’est un peu trop. Sur ses 8 rencontres, il pense avoir fait 5 belles rencontres. Cela devient difficile de faire un choix quand on arrive en Ukraine sans avoir des bons critères, comme le fait de ne pas vouloir d’enfant. Le fait de ne pas être capable de faire ses choix peut devenir problématique. Il faut rester rationnel ou cartésien comme explique l’assistante Olga et aller vers l’essentiel.
Pistes d’amélioration pour l’Agence de rencontre CQMI
Mis à part les profils qui ne sont pas assez détaillés. Philippe explique avoir eu de belles rencontres. Il n’a pas eu un moment difficile lors des rencontres. Il n’a pas passé un seul mauvais moment. Le fait de rencontrer des personnes bien, c’est positif. Philippe regrette de ne pas avoir eu plus de temps entre les rencontres. Il aurait voulu avoir plus de temps pour passer avec certaines femmes qui lui plaisaient plus que d’autres. Philippe n’a pas de temps à perdre, donc il faut aller vers l’essentiel. Certaines femmes ukrainiennes font 10 heures de train pour venir vous voir et c’est la raison pour laquelle il ne faut pas poser des questions bateau. Philippe se dit être une personne directe. Philippe veut du concret pour pouvoir penser au mariage, il veut passer du temps avec elle, faire des sorties et avoir ensuite envie de la revoir sur un prochain voyage en Ukraine.
Les conseils de Philippe
Il faut faire attention à vos choix. Il faut bien regarder les photos des filles car certaines photos en disent long. Parfois les photos montraient que la fille ukrainienne n’était pas aussi gentille que ce qu’elle avait écrit dans son profil. Il faut également faire attention avec les traductions de Google translate qui sont parfois un peu maladroites et qui peuvent biaiser la conversation. Philippe aimait sentir la motivation de la femme slave en face de lui. Philippe s’Est beaucoup imaginé une femme qui va quitter ses racines, son pays, sa famille et ses amis. (Noel Russe à Montréal). De son côté l’homme doit se préparer à ce que cela implique dans sa vie quand cela va se produire. Philippe explique s’être posé les bonnes questions. Si une femme ukrainienne n’a pas réfléchi à sa démarche, c’est pour Philippe un critère rédhibitoire.
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