A part de rares exceptions comme lors de la campagne de Russie de Napoléon, la France et la Russie ont de puissantes affinités qui remontent très loin dans l’histoire de ces deux pays. Lors des travaux de reconstruction de la grande Russie de la très grande Impératrice Catherine II, la France fut un acteur majeur tant sur le plan architectural que culturel. La langue française était même couramment parlée à cette époque en Russie dans les cercles de la noblesse. Encore aujourd’hui les cultures françaises et russes sont restées très proches. La force de l’empire russe impressionne et force le respect.
Le Canada est un pays de contraste, classé parmi les plus grands, mais avec un système d’éducation très inégalitaire. Quand certaines études sérieuses parlent d’un taux d’alphabétisation de l’ordre de 50% au Québec en comparaison de 99.9% dans les pays slaves, on commence à comprendre que la richesse du pays n’a aucun rapport avec le niveau culturel. Lorsque la connaissance culturelle, géographique est déficiente, le public canadien se trouve totalement dépendant des médias de masse qui peuvent alors donner l’image voulu à la population canadienne. Il est d'ailleurs intéressant de constater que 4% de la population Canadienne est d'origine ukrainienne. Dans le contexte des tensions qui opposent la Russie et l'Ukraine avec les événements dans le Dombass, il n'est pas surprenant de voir que le nombre d'immigrants russes au Canada a terriblement diminué au profit des populations slaves pro=-occidentales comme l'Ukraine, la Moldavie ou les pays Baltiques.
Quoi de plus facile que de dévaloriser l’image des pays slaves lorsque la population n’a aucune idée de la mentalité slave. Demandez dans la rue à Montréal ce que les gens savent de la Russie et ils vous répondront que Poutine est un dictateur et que les femmes russes sont des prostituées. Voilà l’image résultante du travail des médias.
Pour cela il suffit de se rappeler de mon entrevue avec Paul Arcand, dans l’émission de radio la plus populaire au Québec, qui assimile les femmes ukrainiennes à des prostituées.
On ne pourrait pas passer sous silence l’influence directe de l’action médiatique des femmes occidentales féministes qui traitent leurs concurrentes de femmes soumises, sexuelles, ignorantes et d’autres qualificatifs enviables. La présence de femmes slaves qui ont su rester féminines est en effet un obstacle à la propagation des idées féministes qui opposent les hommes et les femmes. Tandis que la femme slave reste fidèle aux traditions du couple et de la famille.
voir notre dernière vidéo sur l'origine de la femme soumise qui vient du mouvement féministe
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL