Soyons honnête, je n’étais pas un partisan d’Hilary Clinton, loin de là. Les dernières semaines au Québec ont vu enfler la tension entre certains hommes publics et les courants féministes suite au palmarès des écoles secondaire qui est venu confirmer que l’école exclut les enfants de sexe masculin. Une avocate importante est venue insulter les hommes en public sur le plateau de Tout le Monde en Parle, l’émission TV la plus écoutée au pays. Puis Joseph Facal a placé un article cinglant qui a fait du bruit. L’homme au Québec ne serait qu’un con, une brute ou un perdant. L’arrogance féministe a dépassé les bornes et certains hommes se réveillent et prennent la parole publiquement. La victoire de Trump est une belle claque dans la figure de ces femmes qui sont allées en autobus à New York fêter la victoire des femmes sur le monde… Comme s’il y avait une guerre entre les hommes et les femmes.
Si je suis totalement en désaccord avec cette idée lamentable de construire un mur entre les États-Unis et le Mexique, je suis complètement en accord avec les idées de Trump sur la Russie. Trump a ouvertement déclaré que Vladimir Poutine est un bon président, ce que d’ailleurs confirment plus de 90% de Russes. Le nouveau président américain veut cesser de financer l’OTAN qui est un regroupement de pays armés CONTRE la Russie. Il souhaite que l’Amérique et la Russie travaillent ensemble et non en opposition. Alors que son opposante Clinton est clairement opposé au président russe. Ce sont donc d’excellentes nouvelles pour le rayonnement de la Russie et de ses idées dans le monde. Je pense que nous en avons soupé des idées américaines comme le dit Pierre dans son témoignage sur les pays slaves.
Si on essaye de réfléchir ensemble sur le matraquage médiatique au Québec et ailleurs. Vous écoutez tous les médias qui se lamentent et pleurent en direct. Tous ces médias qui vous influencent chaque jour dans vos décisions. Ces médias qui vous martèlent constamment le message de la pensée unique de gauche, féministe, bien-pensante, moralisatrice, bien comme il faut. En réalité ces médias vivent dans un monde fermé, en dehors du monde et des préoccupations des gens ordinaires. La grande victoire de Trump, qu'on aime ou qu’on n’aime pas, c’est qu’il a su comprendre et canaliser l’énergie de millions d’américains mécontents qui sont en désaccord avec la pensée unique bien-pensante relayée par les sondages et les médias.
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL