A votre avis, qu’est-ce qui coute cher dans la vie d’un homme, un bâton de rouge à lèvre ou un divorce ? Si vous avez déjà souffert d’un divorce au Québec ou en France, vous savez sans doute de quoi je parle. Si vous avez lu notre dernier article ou si vous êtes un amateur des conférences d’Yvon Dallaire sur le couple vous savez déjà que le taux actuel de divorce au Québec pour les gens mariés depuis les années 2000 est autour de 70%. C’est surprenant non ? Savez-vous qui aime le plus divorcer dans notre belle province ? Ce sont les femmes au Québec qui aiment le plus divorcer, puisque ce sont elles qui demandent le divorce dans plus de 3 cas sur 4. La raison ? L’ennui, tout simplement. Et puis aussi un peu surement, même si c’est mieux de ne pas en parler, l’appât du gain facile. Un divorce au Québec c’est très payant si vous êtes une femme.
Selon la statistique américaine du gouvernement, les mariages aux USA entre les hommes américains et les femmes russes ou asiatiques donnent des taux de divorce de l’ordre de 20%. En Suisse ou les statistiques (comme les montres) sont encore plus précises, le taux de divorce entre les hommes suisses et les femmes de l’ex union soviétique sont autour de 15 %. Au Canada, les femmes russes ou ukrainiennes qui divorcent sont ensuite rapatriées dans leur pays…
Mais alors qui de la femme russe ou de la femme moderne occidentale coute le plus cher sur vos finances ?
Avez-vous déjà entendu que les femmes américaines, françaises et québécoises sont les plus grandes cuisinières au monde ? Non attention, je fais des blagues… Au Québec, il y a longtemps que les femmes ont déserté les cuisines pour le tailleur professionnel. Il y a les restaurants pour la cuisine. Oui mais le restaurant c’est un budget quand on y mange chaque jour. Et en plus ce n’est pas très bon pour la ligne. Les femmes de l’Europe de l’Est ont gardé les traditions intactes, et elles aiment et savent cuisiner. Faites un voyage en Ukraine avec nous pour vous en apercevoir !
Un client m’a un jour avoué qu’il ne savait plus quoi faire pour satisfaire les femmes au Québec. Elles veulent que j’aie un travail épanouissant et valorisant et que je sois également un homme au foyer. Elles sont pleines de paradoxe et je ne sais plus quoi faire, semblait-il dire découragé.
En Ukraine, en Russie, enfin dans les pays de l’ex union soviétique je suis parfois frappé de voir à quel point les hommes, les femmes et les enfants ont gardé un certain sens moral, des valeurs civiques, un esprit de groupe. La richesse de nos pays développés et le vent de liberté pousse vers l’égoïsme, le chacun pour soi, le caprice et la société de consommation à outrance. En Ukraine je constate que dès le plus jeune âge, les enfants ont appris à respecter des choses essentielles de la vie, comme le repas en famille, une nourriture saine, le respect des traditions et des ainés, le respect des valeurs. C’est d’ailleurs parfois très étonnant de discuter avec une femme habillée à la dernière mode avec des habits chics qui vous explique ses valeurs traditionnelles conservatrices.
Avez-vous déjà imaginé dans vos rêves les plus fous de vivre avec une femme qui n’essaye pas de vous abaisser ou de concurrencer jalousement votre réussite professionnelle ? Un homme qui se sent aimé et respecté va aller plus loin dans sa carrière professionnelle car il se sent plus fort. La stabilité familiale et la répartition des rôles et des tâches est une formule qui a bien fonctionné pendant des millénaires avant d’être remis en cause par le féminisme. La lutte professionnelle au sein familiale a montré ses limites avec les taux de divorce faramineux de nos sociétés modernes. Le fondateur et propriétaire du plus grand réseau de pharmacie en Amérique du Nord, Jean Coutu, avait un jour avoué aux journalistes de Radio-Canada qu’il attribuait son succès professionnel au support familial et notamment le soutien de sa femme.
Si vous avez lu cet article jusqu’au bout vous avez un devoir de responsabilité par rapport aux femmes russes, slaves, qui sont salies par nos médias. Arrêtez donc de croire le monde médiatique majoritairement dominé par les femmes au Québec. Ayez un peu de courage et regardez la réalité en face. Avez-vous ne serait-ce qu’une fois dans votre vie côtoyée une femme slave ukrainienne qui a mis son mari québécois à la rue, qui l’a empêché de voir ses enfants, qui lui a vidé son fond de pension, qui l’a détruit psychologiquement pour des années ?
A l’inverse, connaissez-vous des femmes québécoises du Québec qui ont mis leur mari dehors, sans maison, sans droit de garde des enfants, sans un sou en poche. Moi, j’en connais !
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL