Cher Ami,
On pourrait logiquement se poser la question :
- Pourquoi les femmes ukrainiennes qui sont en Europe ou en Amérique du Nord continuent-elles d'utiliser les services d'une agence comme la notre ?
Vous êtes-vous posé la question ?
Dans notre base de données, nous avons plus de 500 adhérentes réparties dans tous les pays d'Europe.
Maintenant qu'elles habitent physiquement un pays occidental, quel est le problème pour rencontrer un homme occidental ?
J'ai suivi une vidéo sur le canal de Tsar Experience où Connor pose des questions à Elena, Matchmaker, sur ce même sujet.
Alors, je vais tenter de répondre à la question :
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Les femmes ukrainiennes qui se retrouvent dans toute sorte de pays en Europe ne connaissent pas la langue parlée dans le pays d'accueil.
C'est un obstacle de taille pour l'intégration et la possibilité de faire des rencontres.
Vous le savez aussi bien que moi.
En fait, il est plus simple pour elles de passer par un service en Ukraine comme le CQMI pour les mettre en relation avec des hommes en Europe.
C'est la première raison.
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Elena, qui exerce sa profession en Bulgarie, raconte le cas d'une de ses clientes qui se retrouve dans un petit village d'Allemagne.
Elle explique :
- Les autorités envoient les réfugiés là où il y a de la place, à la campagne.
Pas idéal pour faire des rencontres.
Surtout quand la femme vient de Kiev et qu'elle cherche un homme citadin avec un certain statut social.
Au Canada aussi, le gouvernement pousse les réfugiés dans les régions éloignées.
Elena explique aussi que ce n'est pas facile de rencontrer quelqu'un quand on habite dans un dortoir.
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Elena explique que les femmes ukrainiennes qui s'essayent sur Tinder sont terriblement déçues.
- les hommes qu'on y rencontre ne cherchent que du sexe...
Elles font une rencontre, acceptent de coucher et ensuite l'homme disparait.
Il a eu ce qu'il voulait.
Aider une femme ukrainienne en situation difficile dans un pays qu'elle ne connait pas, très peu pour lui.
La cohorte masculine sur Tinder a rapidement dégouté les clientes d'Elena, qui sont prêtes à payer pour rencontrer des hommes sérieux, réellement intéressés par le mariage.
Évidemment, c'est aussi notre mission au CQMI.
On cherche à éviter au maximum les prédateurs sexuels.
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En fait, si on voulait faire un raccourci sommaire, voici ce que je pourrai écrire :
En occident, quand un homme ou une femme s'inscrit sur un site de rencontre, c'est pour baiser.
En Ukraine, les femmes s'inscrivent dans une agence comme la notre pour rencontrer un homme pour une relation sérieuse de longue durée.
Au CQMI, les femmes ne cherchent pas une relation d'un soir, elles veulent rencontrer un homme stable qui va investir en elle et dans ses enfants.
Les intentions sont totalement distinctes et permettent de penser que notre agence a encore de beaux jours devant elle.
Au final, nous ne sommes pas des concurrents de Tinder car notre offre de service est différente.
Je vous donne RDV Dimanche 1er Octobre pour le LIVE 118 du CQMI sur YouTube à partir de 14hr au Québec et 20 hr en France.
Antoine.
A étudié à CQPNL Centre québécois de PNL
